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Lequel de ces textes vous plaît le plus ? | Texte n°1 | | 60% | [ 6 ] | Texte n°2 | | 10% | [ 1 ] | Texte n°3 | | 20% | [ 2 ] | Texte n°4 | | 10% | [ 1 ] |
| Total des votes : 10 | | Sondage clos |
| Bonsoir les NSiens ! Je vous annonce que les votes pour la joute écrite n°1 ayant pour thème l' Horreur sont ouverts. ~ Sans plus tarder voici les quatres textes que j'ai reçus. Bonne lecture à vous. - Texte n°1:
Une curiosité trahie Dans la ville de Cliford en Angleterre, minuit sonna. Courbé par le poids du temps, Henri Cleen, vieil homme aux cheveux blanc, fermait son magasin d’antiquités poussiéreux et sans âme à clé comme chaque soir. Soudain il entendit des grincements de plancher qui venaient de l’intérieur. Il se figea un moment et respirant un grand coup il se décida à entrer et demanda d'un ton ferme : Qui est là ?! Mais aucune réponse ne vint. Analysant sa boutique du regard il aperçut une enveloppe par terre, posée sur le sol en plein milieu de la pièce. Il s’avança vers elle , se pencha pour la prendre, l'ouvrit et vit à l’intérieur une lettre agréablement parfumée, finement écrite à l’encre rouge mais qui surtout paraissant extrêmement vieille. Ne se souvenant pas de l’avoir dans sa collection, l'antiquaire se décida à la lire, après l'avoir jugé d'un rapide coup d'œil.
"Bien le bonsoir à l’élu qui tient cette lettre. Nul besoin de savoir qui je suis, mais sachez que vous, vieil antiquaire, n'avez pas été choisis au hasard. Un coffre scellé se trouve au deuxième étage de la vielle maison abandonnée des Bahomet. Je vous demande de le livrer au "13rue des mirages ". Vous n'y gagnerez rien, mais vous le ferez, car votre amour des objets anciens est sans limite. Excusez mon air hautain mais je suis sure que le destin nous poussera à nous rencontrer."
L'antiquaire, étonné et septique, décida d'analyser cette lettre. Il était 4h du matin quand il finit enfin. La sueur coulait de son front, roulant sur son visage devenu pale . Après analyse, cette maudite lettre donnait l'impression d'avoir plus de 400 ans de vieillesse, et surtout était écrit non pas à l’encre comme il le pensa au début…. mais avec du sang.
_Et un sang humain il semblerait. Mais est-ce vraiment qu’une impression ? Se demanda-t-il ; Et si c’était vrai ?
Décidant qu’il était déjà tard, l’antiquaire remit l’affaire de cette lettre a plu tard et rentra chez lui . Le lendemain, remit à moitié de ses émotions, l'antiquaire décide de se rendre à l'endroit indiqué : la maison des Bahomet. Car oui, l'anonyme qui a écrit la lettre avait raison. Poussé par son amour pour les objets il ne put résister à l’idée de voir ce coffre. Là, il découvre un vieux portail ouvert séparant un jardin envahit par la végétation. Il descend de la voiture pour arriver au pied de la grande demeure. Les Murs sombres et austères semblaient sur le point de s’écrouler. Il força la porte coincée sur ses gonds. Il entra et gravit l’escalier principal. Une porte claqua, attirant son attention. Il l’ouvrit et découvrit une pièce sobre, complètement décorée de tableaux. Mais ces tableau était étranges… effectivement sur chacun des hommes représentés une rose rouge était peinte au niveau du cœur. Il détourna le regarde vers une table ou un coffre était posé dessus, était-ce celui qu'il cherchait ? Il le prit et essaya de l'ouvrir, mais sans succès. Finalement ce coffre n'avait rien de très spécial. Déçu, il décida quand même de le livrer à l'endroit indiqué.
Il était 14 heures quand il quitta enfin cette maison d’où émanais une étrange atmosphère. Il roula des heures sans même s’en rendre compte et reporta son attention à sa montre peu avant d’arriver. Il avait passé plus de 3h sur la route . A 20h 24 il stoppa sa voiture à l’ endroit du rendez-vous et descendit pour observer le lieu, la boite fermement tenue entre ses mains. Même s’il faisait déjà sombre, la lueur de la lune lui permettait de distinguer les formes alentours…. Toujours aussi étrange se disait 'il, il n’y avait aucun bâtiment à l’horizon, tout juste une forte végétation ou la nature voulait reprendre le dessus sur les routes et le bitume de l’homme. Malgré l’obscurité, il remarqua un amas de plantes sombres et rocailleuses, plus denses et hautes que le reste et décida de s’approcher. Cet amas de végétation recouvrait quelque chose, et en observant il comprit que ces barreaux de fer étaient en réalité une grille, haute et rouillée. Il essaya de voir à travers, une appréhension grandissante au fond de l’estomac. Il vit des plantes hautes et grimpantes, des pierres taillés assez basses, des rectangles formés sur le sol et qui semblaient étrangement aligné… . Son cœur commença à battre plus rapidement, plus fortement, sa respiration se faisait rapide, incertaine. Sa conscience lui hurlait ce qui se trouvait devant lui, lui hurlait de partir le plus loin possible. Il savait ce qui se trouvait là mais refusait de l’admettre, d’y penser, seulement il se rendit à l’évidence …Il se trouvait devant un cimetière.
-C’est une plaisanterie !?
Une boule au ventre il décida de rebrousser chemin. Mais que lui avait ’il prit de venir !? Une lettre vieille de 400ans ? Quel idiot… . Un vent glacial souffla, lui giflant le visage avant qu’une voix lointaine ne lui glace le sang : -Voilà donc le vieil antiquaire, Vous n’alliez pas partir ? Rentrez je vous attendais Ne sachant pourquoi il obéit presque automatiquement, avançant sans s’en rendre compte jusqu’au milieu du cimetière où il finit par revenir à sa conscience -Qu… Il s’interrompit, sentant avec effroi un liquide se répandre sur ses mains. Tremblant, il baissa le regard pour voir un liquide, sombre, au reflet rubis parcourir ses doigts et qui semblaient venir de…la boite. Il voulut la lâcher mais son corps ne le fit pas ; et la voix qu’il avait entendu résonna a nouveaux dans le cimetière
- Ouvre-la, n’est-ce pas ce que tu voulais ? Non...cela ne peut pas être réel, se dit le vieil homme. Mais ses bras encore une fois ne lui obéirent pas, et avec frayeur se vit finalement ouvrir la boite, et se figea quand une terreur sourde monta en lui, à la vue d’un cœur sanglant battre dans ce maudit coffre. Toujours paralysé de terreur, il vit un corps de femme calcinée émerger de la tombe devant lui. - Alors vieil antiquaire, as-tu assouvi ta curiosité ? Dit la femme avec sa voir d’une froide douceur Le pauvre homme prit de panique, tenta de fuir sans regarder derrière lui, quand subitement une main froide et calleuse l’agrippa à la gorge, le coupant dans son élan.
- Ne me faussez ma compagnie cher monsieur, dit-elle en serrant de plus en plus fort sa main et d’un mouvement brusque enfonça ses doigts calcinés dans son cou laissant jaillir le précieux liquide vital. A ce moment-là, dans le regard de l’antiquaire dépassé par les évènements depuis le début, il comprit finalement ce qui lui arrivait, Il était en train de mourir.
Le cadavre sans âme, retombât lourdement sur le sol, le visage pétrifié d’où ses yeux perlait une ultime larme. - Dommage, je me serais bien amusée un peu plus. ricane-t-elle S’empressant de récupérer le coffre tombé, elle absorbât le cœur à l’intérieur en désintégrant son contenant.
En même temps, dans une pièce sombre, un tableau semblait sortir du mur comme par magie et dessus un vieil homme, les cheveux blanc, le teint pâle, était peint… une rose au niveau du cœur.
Se retournant face à la dépouille gisant à ses pieds dans le cimetière, la femme arracha le cœur de celle-ci et laissa ses os se disloquer et former un nouveau coffre qui abritera bientôt l’organe qu’elle tient dans sa main.
- Texte n°2:
Le noir était total. Elle ne voyait plus ses mains, ne sentait que son corps et le terrain boueux à ses pieds. Au loin, le vent entonnait son chant, froid et claquant contre pierres et arbres. Il s’insinuait partout, venant frôler sa frêle silhouette, fouetter sa chevelure, cascader sur le sol inégal. Face à cela, elle restait assise. Enchaînée à la terre. De temps en temps, elle plongeait ses pieds dans le sol gorgé d’eau, appréciant le son du liquide. Ses rires s'envolaient loin et se dissipaient dans le ciel. C'était plaisant à entendre ! Sa voix contrecarrer le vent. Puis, lorsque lassée de ses jeux solitaires, elle recommençait à s’occuper avec sa poupée, de larges branches, ou alors en triturant la boite à ses côtés.
Sous la caresse de ses doigts, celle-ci recouvrait alors toutes ses couleurs. Peinte d'un beau rouge et ornée de motifs enfantins, une clé s’y trouvait enfoncée. Les souvenirs qui lui étaient associés étaient joyeux, doux, réconfortants. Alors elle la gardait contre son ventre. Attendant patiemment. Le souvenir de cette boite lui rappela sa mère. Sa mère, si jolie, si belle, si gentille. Elle la lui avait offerte à de son anniversaire, quelques semaines plus tôt. Ou plus, incapable qu’elle était de se remémorer le temps passé ici. A attendre. Encore. Encore. Et encore.
Elle actionna la boite.
Une musique recouvrit alors le souffle du vent. Elle carillonnait, occupait à nouveau son esprit. Peut-être s’étaient-ils perdus ? Ils étaient tous partis, la laissant ici. Même sa mère. On lui avait dit de ne plus bouger. D’attendre. Mais la patience n’avait jamais été son fort. Et elle commençait vraiment à trouver le temps long.
Alors, la boite toujours dans une main, elle tâta le sol du bout des doigts, à la recherche de sa poupée, jusqu'à attraper l’un de ses bras. Lorsque se fut chose faite, elle se redressa, le sourire aux lèvres. L’aventure ! Enfin. Ses jambes étaient engourdies. Elle perdit l’équilibre et retomba sur ses fesses. Elle se redressa avec quelques gémissements puis, lorsque ses jambes furent à nouveau capables de la soulever, elle sautilla, riant doucement. Alors, par petit pas, elle commença à avancer. C’était laborieux. Elle buttait constamment contre les bosses et s’écrasa sur le sol à plusieurs reprises. Des morceaux de bois lui rentrèrent dans le ventre, la boue lui collait à la peau et l’eau dégoulinait le long de son corps. Une partie finit même par lui rentrer dans les yeux. Ceux-ci devinrent rapidement douloureux. Elle lâcha alors boite et jouet, puis se frotta le visage, en vain. Accentuant encore plus cette horrible sensation.
La douleur devint insupportable. Elle se mit à pleurer, accroupie, les mains sales contre son visage. Sa mère lui manquait. Tout le monde lui manquait. Mais personne n’était là. Elle restait seule, abandonnée. Perdue. Plus personne avec qui jouer. C’était rageant.
Alors qu’elle continuait de se lamenter en des cris toujours plus stridents, la musique chantait toujours, insensible à l’enfant. Elle commença à se balancer sur le sol, récupérant par la même occasion la poupée tombée non loin. Le temps passa. Heures ou minutes, impossible à dire, mais sa voix, abîmée par des hurlements ininterrompus se transforma bien vite en gémissements roques.
Soudain, un bruit retentit dans le lointain. Un sifflement. Elle se calma instantanément, aux aguets. Immobile dans le noir, elle n’avait aucune idée de comment réagir. Était-on enfin venu la chercher ? Après tout ce temps ? Un cri résonna, tout près. Terrifiée, elle resta là, tétanisée. La boite à musique, elle, continuait sa mélopée. Un aboiement tonna dans son dos, de plus en plus près. Elle saisit alors la boite de ses deux mains, tentant vainement de l’arrêter.
Quelque chose craqua.
Cependant, elle avait beau faire rien ne fonctionnait.
Un nouveau cri.
Alors, elle balança la boite le plus loin qu’elle put, saisit sa poupée, seule source de réconfort et se releva d’un bond. Elle commença à courir. La bête, derrière elle, tonna à nouveau puis se lança à sa poursuite.
Un faisceau rougeâtre l’éclaira d’un coup. Elle fit volte-face, yeux écarquillés, tête béate, décontenancée par tant de lumière.
Une détonation recouvra le bois.
Le silence l’enveloppa.
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-Hey, ‘T’as entendu le vieux Gil’ ? Disait qu’c’était un carnage.
-Ouais, une horreur. Pensais pas qu’pouvait se passer quequ’chose du genre dans le coin…
-T’m’étonnes. Pas un d’vivant. Tous crevé. Et l’gosse… Une gosse pas plus haut qu’la table. Horrible.
-L’a eu peur, le vieux. L’a abattu d’un coup… Le “démon rouge” qu’il l'appelle. Pârait qu’ça souriait en tenant une main défoncée.
- Texte n°3:
Rencontre lugubre Elle se releva, haletante. Jusqu'à maintenant les traces de pas menaient à la salle entrouverte... Elle ne put retenir un cri de stupeur à la vue de ce spectacle morbide : un corps gisait au-dessous de la fenêtre, embroché par une fine lame aiguisée. Elle s'élança vers le cadavre meurtri dans le but d'identifier la victime, se retenant de respirer dans le même temps à cause de l'odeur pestilentielle qui envahissait la pièce. Elle s'approcha doucement et contourna les tâches de sang séchées. Elle déglutit péniblement. Ce qu'elle s'apprêtait à découvrir serait abominable... Elle poussa un cri d'effroi à glacer le sang. Elle tituba et tenta désespéremment de se tenir debout, en vain. Elle tomba à genoux, porta sa main vers le visage infâme et décrépit de sa mère et laissa le chagrin s'emparer d'elle. Elle étreignit maladroitement le corps sans vie de sa mère et pleura à chaudes larmes. Lorsqu'elle réussit à reprendre son souffle, elle parvint à prononcer ces quelques mots : "Maman... ,chuchota-t-elle, pourquoi... pourquoi me laisses-tu seule ? Je.. ne comprends pas..." finit-elle avec regret. Les larmes redoublèrent et elle resserra toujours plus son étreinte. L'odeur putride qui se dégageait du corps devenait insupportable mais peu lui importait : ces derniers moments avec celle qui fut sa mère n'avaient pas de prix. Soudain elle entendit des bruits de pas qui remontaient des escaliers... Aucun doute possible : les sons montaient crescendo. La jeune fille pâlit et songea à se cacher derrière la caisse en bois, à l'autre bout de la salle, avant d'abandonner rapidement l'idée. Elle était à bout de forces et n'avait plus rien à perdre ; elle s'était résolument résignée. Cela ne l'empêcha pas pour autant d'éprouver une frayeur glaciale à mesure que les pas résonnaient de plus en plus proches. Elle avait le regard rivé sur la porte entrebâillée. Lorsqu'elle apreçut une ombre, son coeur manqua un battement. La silhouette encapuchonnée pénétra dans la pièce et l'éclaira. La fille laissa échapper un hoquet de surprise devant la scène qui s'offrit à elle. Hormis sa mère, il y avait une dizaine d'autres cadavres qui jonchaient le sol, à présent recouvert d'une couleur bordeaux. Pendaison, démembrement, décapitation, torture, calcination.. Toutes sortes de méthodes auxquelles avait fait appel l'auteur de cet acte malsain pour venir à bout de ses victimes. La silhouette jubilait à l'idée de voir sa prochaine victime paniquer et ressentir de la crainte envers lui. Il affichait une expression paisible et patientait calmement en observant la fillette s'affoler. C'était le moment qu'il préférait avant d'accomplir son meurtre. Un terrible dilemme se mesurait à lui désormais : quelle type d'homicide allait-il adopter pour assouvir son plaisir ? Ce n'était pas tous les jours qu'un tel butin se présentait à lui et cela méritait réflexion. Une petite mignonnette qu'il pourrait faire souffrir à sa guise, rien que pour lui. Tout en réfléchissant, il la toisait du regard. Sa frêle victime était apeurée, elle le fixait avec des yeux rougis et implorants. L'homme referma la porte et il sentit derrière lui que l'épouvante ressentie par la fille atteint son paroxysme. La jeune fille se sentait prise au piège et frissonna. Des sueurs froides coulaient de ses tempes. Elle les chassa d'un geste qui se voulait être assuré, ses mains la trahirent : elles tremblaient légèrement mais assez pour qu'il le remarque. Elle leva ses yeux et vit qu'il s'était rapprochait. Elle ne se fit pas prier et recula quelque peu.. avant qu'il ne lui retienne le bras. Il souriait et s'était accroupi de façon à ce qu'il arrive à sa hauteur. Il lui demanda, le sourire aux lèvres : -Quel est ton nom, ma mignonne ? Elle essaya de libérer son bras mais n'y parvint pas. Elle se força de relever les yeux et bégaya une réponse quasi inaudible : -Nu.. Nuad..a -Mmh Nuada.. Joli prénom, n'est-ce pas ? commenta-t-il avec son éternel sourire, dis-moi tu veux bien m'accompagner pour faire le tour de la pièce ? J'ai tout un tas de personnes décomposées à te présenter... Tu verras, ils ne sont pas très communicatifs mais ils restent tout de même passionnants. L'homme encapuchonné dissimulait dans sa main gauche un couteau tranchant que la fille feignait ne pas voir. Ce qu'il ne savait pas, c'est que Nuada aussi cachait quelque chose dans une de ses mains. Un peu plus tôt elle avait déniché une paire de ciseaux dans un coin, preuve que finalement elle tenait encore un peu à sauver sa peau.. La silhouette reprit d'un ton sardonique : -Oh mais j'y pense, tu as dû le voir avec ta maman que ces personnes-là ne sont plus douées de paroles. Son sourire avait changé du tout au tout : il relevait maintenant du pur sadisme. Nuada avait compris que la folie s'était emparée de lui. Avant que cela ne dégénère, il fallait qu'elle fasse quelque chose. Nuada s'arma de courage et tenta de repousser le sentiment de peur et d'effroi. L'homme, les yeux exorbités, s'avança encore jusqu'à ce qu'il atteigne l'oreille de Nuada pour lui murmurer calmement : -Veux-tu m'amuser un peu ma jolie ? Tu sais que je n'avais plus ressenti une telle sensation depuis longtemps déjà.. Je ne veux plus l'oublier et je souhaiterais qu'elle dure le plus possible.. Vas-tu accéder à ma requête ? ajouta-t-il en promenant ses mains grasses sur ses épaules dénudées. Elle put sentir son haleine fétide. Elle éprouvait un certain dégoût face à ce monstre et l''assurance de Nuada laissa place une nouvelle fois à la peur panique, elle sentit les larmes lui montaient aux yeux. L'homme riait d'un rire strident et ses mains glissèrent sur les seins de Nuada. Celle-ci éclata en sanglots et gémit faiblement. Ce petit cri le fit exulter de plus belle, il se cambra -entraînant Nuada- et continua de la parcourir des mains et de la déshabiller. Quand il eut fini, il la reluqua et prit son couteau. Il lui entailla délicatement la joue et lui pressa la poitrine. Nuada resta stoïque du mieux qu'elle le pouvait. Un filet de sang jaillissait de sa blessure et l'homme le lécha. -Alors ? Tu aimes ça ? Après tout j'ai fait la même chose à ta mère avant qu'elle ne se retrouve dans cet état.. Je dois admettre que les corps des jeunettes m'excitent beaucoup plus cependant.. Ne t'inquiète pas, ce n'est que le début, tu éprouveras bien du plaisir toi aussi, dit-il tout bas, Tout comme ta mère, ajouta-t-il avant d'éclater de rire. Nuada choisit ce moment pour tenter de s'en tirer. Elle renforça sa prise sur les ciseaux, l'ouvrit et taillada l'homme au visage. Il cria éperdument tandis que Nuada en profitait pour s'extirper de cet endroit sordide. Elle courut jusqu'à en perdre haleine et ne s'arrêta que lorsqu'elle n'entendit plus rien de suspect. Aux alentours, tout était vide. Elle vit une autoroute non loin d'où elle se trouvait, s'y rendit et attendit qu'une voiture y passe. Après ce qui lui parut une éternité, une voiture fit son apparition à quelques kilomètres. Elle soupira de soulagement et secoua les mains pour que les passagers l'aperçoivent. Tout à coup, Nuada crut percevoir des bruits de pas mais elle n'y prêta guère attention. Des pas qui venaient dans sa direction...
- Texte n°4:
Cauchemar Aaah ! Quel cauchemar ! Toute cette journée a été un véritable cauchemar. De mon réveil qui n’a pas fait son boulot en passant par le contrôle surprise de math que je n’avais pas révisé jusqu’à cette coupure de courant impromptue pendant mon programme favoris « les porteurs de lumière de la téléréalité ». Seule et plongée dans le noir je tâtonne jusqu’aux fenêtres. C’est étonnant de voir à quel point les bruits paraissent clairs lorsqu’il fait si sombre : J’entends le bruit des voitures au loin « huuuuf », le bruit d’une respiration sifflante et saccadée ; j’entends l’eau qui goutte dans les tuyaux de la chaudière qui vient de s’arrêter « tap, tap, tap », des bruits de pas ; j’entends les volets qui grincent tandis que je les ouvre manuellement « hiiiii », le bruit des ongles crissant contre un carreau. Mon imagination ne me permet pas de déterminer ou même d'imaginer les autres bruits. La lumière de la rue commence à rentrer dans la maison, l’éclairage public permet à peine de distinguer les meubles dont les ombres immenses s’étendent au sol. Si j’ouvre les volets du côté de la forêt j’aurais peut-être plus de lumière pensé-je. Après tout c’est la pleine lune. Une silhouette se dessine au fur et à mesure que j’ouvre le volet et me fait sursauter: Un enfant entre 6 et 8 ans attendait derrière la fenêtre une boule se forme dans mon ventre : quelque chose n’est pas normal avec cette situation. Je ravale ma peur injustifiée. C’est un enfant, je ne peux pas le laisser seul ici. Je me précipite vers la porte de derrière pour lui ouvrir et lui demande s’il s’est perdu en lui faisant signe de rentrer mais il secoue la tête et me tend la main. -Viens Je ne sais pas s’il prononce ces mots ou s’ils sont simplement issus de mon imagination puis je réalise ce qui me troublait : Qui laisserait un enfant si jeune se balader seul dans la forêt ? Il n'était pas seul son accompagnateur a dû avoir un problème et doit toujours être quelque part dans la forêt ! Je prends sa main et nous nous dirigeons vers la lisière de la forêt.
Le feuillage des arbres s’épaissit au fur et à mesure de notre enfoncement les quelques rayons de lumières qui filtraient à travers la frondaison disparaissent. Je ne sais pas combien de temps s'est écoulé lorsque nous arrivons finalement dans une sorte de clairière: 10 minutes? 1 heure? 2 heures? Mes réflexions sont coupés au moment où les nuages s’écartent de la sphère sélène et j'arrive à distinguer au centre un tertre, il n’y a pas d’herbe au-dessus comme si la terre avait été fraîchement retournée. Environ 1m30 de largeur, environ la taille d’un enfant me dis-je, un enfant entre 6 et 8 ans. Je tourne lentement la tête vers mon guide dont la lueur lunaire éclaire le visage pour la première et bloque le hurlement qui commence à monter dans la gorge alors que j’essaye de dégager ma main de sa poigne crispée: Son visage et tourné vers moi je remarque ses lèvres à vif laissent transparaître ses dents de lait noircis par la terre qui tombe de sa bouche en grumeaux accompagnant la sanie qui dégouline de sa peau rongée par les vers. Son œil droit est d’un blanc laiteux fixant l’infini et une branche est plantée dans son œil gauche, une seconde branche sort de son œil, puis une autre et encore une autre, j’en compte huit avant qu’une énorme masse noire se fraye un chemin en dehors de l’orbite, l’araignée glisse le long de son visage vers son bras -mon bras-, je ne peux pas lâcher sa main ! Et il me sourit, son visage déformé dans un rictus macabre. Il disparaît soudain en me laissant seule dans cette forêt.
Aaah ! Quel cauchemar ! Je me réveille en sursaut, je m’étais endormie devant la télévision. J’ai raté mon programme mais ce n’est pas grave, de toute façon je ne pense pas que j’aurais pu le voir dans l’état où je suis. J’éteins le téléviseur et me lève du canapé pour aller dans ma chambre. Quelque chose retient mon attention. Une branche dépasse de ma poche, qu’est-ce que ça veut dire ? Une deuxième branche rejoint la première, puis une troisième, une quatrième…
Je vous laisse une semaine pour voter pour votre texte favori. Je veux beaucoup de votes, lire ne demande pas tellement d'efforts à ce que je sache. x) Alors s'il vous plaît passez ici pour voter et, si vous vous sentez, pourquoi pas nous donner vos avis pour nous aider à progresser ! _______________ Edit du 16.07.2016 Après avoir réfléchi un moment j'ai finalement fait mon choix ! :3 Je vais voter pour le premier texte. L'idée des morts qui deviennent des tableaux m'a beaucoup plu et j'aime bien le personnage principal. Bon après j'ai rien d'autre à dire sur celui-là... J'aurais peut-être préféré que la fin du vieil homme soit un peu moins rapide. Supprimer plus de détails pour en rajouter davantage au moment de sa mort ? Enfin bon je dis peut-être n'importe quoi mais voilà mon avis. Pour le deuxième texte, je trouve qu'il est bien écrit et l'histoire est intéressante, seulement la mort survient de manière inattendue (c'est peut-être le but et j'ai rien contre) mais du coup c'était trop soudain. :/ Ensuite j'ai pas trop compris à la fin l'utilité du dialogue présent. On nous le balance comme ça. J'ai pas trop compris à quoi ça servait, surtout qu'on en apprend pas beaucoup plus finalement. >.< Valait mieux terminer juste avant la partie dialogue à mon humble avis. Mais sinon je le trouve bien rédigé ! L'histoire du troisième texte me plaît bien également mais il n'y avait pas le petit plus de l'auteur comme dans le premier texte avec un nouveau concept.. Par contre j'ai l'impression que la fin est bâclée. ^^' En quelques lignes la victime parvient à s'échapper alors que le mec à qui elle a affaire c'est pas une mauviette. Du coup c'est un peu décevant sur le dénouement.. Heureusement que les dernières phrases sont là pour rattraper un peu ! Quant au dernier texte il y a une chose d'abord qui m'a perturbée. C'est le : "Aaah ! Quel cauchemar !" répété deux fois. Ce doit sûrement être un effet de style de le mettre au début puis juste avant la fin mais moi j'ai trouvé que ça ne convenait pas trop. >_< Dès le début on sait que ça va être un rêve et c'est dommage.. J'aime bien qu'on me l'annonce à la toute fin pour que je sois un minimum étonnée par la tournure des événements. Bon sinon à part ça c'est bien rédigé et l'histoire est sympa. Et comme pour le précédent texte j'aime ce genre de fins. Voilà pour moi. Désolée si vous prenez mal certains de mes jugements mais sachez que ce n'est pas le but, c'est juste mon propre avis. En espérant que mes critiques vous soient constructives.
Dernière édition par Nareshi le Mer 20 Juil 2016, 01:50, édité 2 fois |
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Sexe : Messages : 1034 Date d'inscription : 26/10/2014
| | | Je vais voter la première car c'est celle qui à le plus retenue mon attention.
J'ai bien aimé le début de la 4 mais je trouve que la fin est un peu bâcle. C'est trop simple de dire que c'est un cauchemar.
Je trouve le texte 2 assez dur à comprendre. Et la fin ne me plait pas du tout.
Le texte 3 n'était pas mal non plus, mais je n'ai pas autant accrocher qu'avec le texte 1.
J'adore l'idée du corps qui devient le coffre ! On peut facilement s'imaginer que quelqu'un d'autre va devenir la cible de ce fantôme ! je trouve ca très intéressante :D |
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Sexe : Messages : 1146 Date d'inscription : 19/06/2015 Localisation : sur ma papatte chat :3
| | | Up ! Il ne vous reste plus beaucoup de temps pour voter pour votre texte favori. J'aimerais au moins avoir les votes de ceux qui ont écrit si possible. ^^' Allez les gens un petit peu de lecture ne vous fera pas de mal, je compte sur vous ! |
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Sexe : Messages : 1034 Date d'inscription : 26/10/2014
| | | \o J'ai aussi voté le texte N°1 Comme Nareshi j'ai beaucoup aimé l'idée et la mise en place des tableaux. Je sais pas... ça donne un espèce de petit côté romantique au texte et j'aime bien ~ Et je rejoins aussi l'avis de nareshi sur la mort du vieillard e_e C'est le final, la où l'esprit doit être le plus étonné, ou du moins marquer. Personnellement, cet écrit est pour moi celui qui se rapproche le plus du thème aussi. A et bon point pour le coffret fait à base du corps de la victime ~ C'est assez original ( et c'est toujours dans un esprit assez romantique je trouve e_e je me demande bien qui a écrit ça ) J'ai eu un peu de mal à apprécier le 2 et pour moi. Je sais pas. J'ai pas vraiment accroché au style d'écriture de l'auteur. Le 3 se rapproche plus du "gore" que de l'horreur à proprement parler. Le style était sympa mais sans plus. Peut-être que si ça avait été plus développer ( [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]) Le 4 est aussi dans le thème de l'horreur mais il peut être amélioré. En réalité, je trouve l'histoire un peu vide à vrai dire ê_e En faite, je crois que j'aimerais bien lire ces textes mais peut-être plus travaillé >w< Même si les limites de mots ont des raisons bien à elles et qui sont normales, je trouve ça quand même dommage car ça peut empêcher l'écrivain de faire tout ce qu'il voulait :c ( Je pense notamment au texte 3 ou même au 1 qui aurait été surement plus stimulant et intéressant en étant plus développé) |
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Sexe : Messages : 136 Date d'inscription : 15/09/2013 Localisation : Dans ton coeur ♥
| | | J'ai également voté pour le texte numéro 1 dont je trouve l'histoire bien bouclée. Ça m'a fait penser au genre d'histoire qu'on trouverait dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. C'est aussi le texte qui à mon sens rentre le plus dans le thème de l'horreur. |
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Sexe : Messages : 1725 Date d'inscription : 24/09/2013
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Sexe : Messages : 684 Date d'inscription : 30/10/2011 Localisation : A la maison // Club*Nix // 0210
| | | J'ai voté pour le 1er , c'est le mieux. Le 4 est pas mal, mais un peu court '-' . Le 3 m'as laissé sur ma fin, par une fin un peu trop expédié. Le 2 eme texte m'as perdu. |
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Sexe : Messages : 550 Date d'inscription : 24/12/2013 Localisation : Somewhere.
| | | J'ai beaucoup hésité entre le 2 et le 4 mais au final je vais voter pour le 2 . J'aime cet univers assez original et mystérieux. J'aime aussi la façon spécial dont c'est écrit et détaillé même si a cause de cela je n'arrive pas a cerner les éventements. On a du mal a se repérer, comprendre ce que se passe et ca fait que je n'ai pas senti de peur et appréhension , j'ai eu du mal a m'imaginer les scènes. Par contre j'aime beaucoup la fin, on dirait comme les films ou il se passe quelque chose, ca coupe et on voit des personnes en parler le lendemain.
La 4 est jolie mais je n'ai pas aimé la façon dont c'est écrit. C'est trop rapide . les plus importants éventements sont vites déballés et c'est dommage car l'histoire est quand même pas mal même si classique, au final je n'ai pas eu le temps de me sentir dedans. |
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Sexe : Messages : 2327 Date d'inscription : 28/01/2015 Localisation : la tête dans le frigo ~
| | | Je clôture les votes. Je vous remercie à tous d'avoir voté, 10 votes pour une semaine c'est pas mal et je m'attendais à moins que cela alors je suis heureuse de constater qu'il y en a autant. ^^ Et encore un grand merci aux participants. Voici le classement ainsi que les auteurs de chacun des textes : -En première place nous avons [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] qui remporte cette joute avec son texte intitulé Une curiosité trahie, le premier. Il remporte 6 voix. Félicitations ! Je te rappelle qu'il faut que tu me soumettes le prochain thème d'ici 2 jours max. (en comptant celui-ci) -Vient ensuite [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] avec son texte Rencontre lugubre (texte n°3) qui remporte 2 voix. -Et en troisième position nous nous retrouvons avec une égalité. Le texte n°2 d' [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et le n°4 fait par [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] qui récoltent 1 voix chacun. Bravo à vous deux ! ^^ Merci à celles et ceux qui ont pris le temps de venir donner leur avis ; sachez que cela compte énormément pour moi puisque j'aimerais pouvoir progresser davantage par la suite et éviter les erreurs récurrentes.. >.< Je recevrai toujours vos critiques avec plaisir alors n'hésitez pas s'il vous plaît, je tiendrai compte de vos remarques, quelles qu'elles soient. (Pardon si j'en fais trop mais je suis très sérieuse quand ça concerne ce que j'apprécie ^^') - Citation :
- Le 3 se rapproche plus du "gore" que de l'horreur à proprement parler. Le style était sympa mais sans plus. Peut-être que si ça avait été plus développer (#chieuse)
Ah zut.. Maintenant que tu le dis je me rends compte que c'était un peu trop et qu'en effet il se rapproche beaucoup plus du gore. Pour le développement par contre je ne vois pas ce que j'aurais pu faire de plus mais je prends en compte. Merci pour cet avis ! - Citation :
- Le 3 m'as laissé sur ma fin, par une fin un peu trop expédié.
Pour le coup je suis totalement d'accord avec toi, j'aurais dû plus la travailler parce que je la trouve moi-même bâclée. Merci pour ta remarque constructive. o/ |
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Sexe : Messages : 1034 Date d'inscription : 26/10/2014
| | | Alors j'avais voté pour le premier texte qui est très bon, ça se voit rien que dans les votes mais j'avais promis une critique et elle arrive un peu en retard... Pour le premier texte on aurait dit une nouvelle d'horreur de la période romantique à quelques détails près... des détails en trop justement, dans ce genre de texte les seuls chiffres qui restent doivent être symboliques: "minuit sonna" ; "13 rue" ça apporte quelque chose au récit "4h du matin" ; "400 ans" ; "14 heures" ; "plus de 3h" ; "A 20h 24" rendent le cadre temporel trop fixé alors que pourtant il n'y a pas l'erreur d'un lieu précis dans le texte, pas de "Il se trouvait devant le cimetière du père lachaise". Le coup de l'analyse est un peu rapide aussi, j'aurais bien aimé voir comment il réagissait pendant ses observations au fur et à mesure qu'il se rend compte de la lettre elle même. Et le choix d'un fantôme assez cordial qui s'excuse dans la lettre par exemple c'est étrange, il devient très humain au final. Ah et puis la lecture direct de la lettre au lieu d'une description du personnage casse un peu dans le style totalement descriptif du récit. Voilà c'est tout, au final c'est un très bon texte et il y a beaucoup de tournures et de descriptions bien placées. Et je dois finir le texte des prochaines joutes donc je parle seulement du 3 après (désolé), il me rappelle une conversation que j’ai eu avec quelqu’un il y a longtemps qui écrivait très bien mais qui étalait son vocabulaire et ses néologismes tout au long de ses textes. *vient d’aller chercher la conversation d’avril 2012* - lui a écrit:
- Je me lasse de lire tout le temps le même vocabulaire dans tous les textes que je lis.
- moi a écrit:
- Une mésentente risque d’apparaître: le vocabulaire ne sert pas seulement à éviter les répétitions, il doit y avoir une véritable finalité dans son utilisation sinon j'appelle ça de la pédanterie, ceci agissant en contre-exemple de ta théorie
- lui a écrit:
- Le vocabulaire sert en effet à autre chose que d'éviter les répétitions et je n'ai en aucun cas dit le contraire.
Je disais juste qu'un autre mot peut-être plus adapté qu'un autre, et que ce mot peut aussi éviter un vocabulaire utilisé par tous les apprentis poètes. D'ailleurs bien plus que le vocabulaire, c'est l'idée qu'il faut démarquer. Vous remarquerez ici la tête à claque que j'étais à l'époqueOn met ici en avant une des principales règles de la prose : il faut choisir ses mots méticuleusement afin que l’idée soit exprimée le plus clairement possible ! Mais même si l’idée est exprimée le plus clairement possible pour l’auteur est-ce que ça reste clair pour le lecteur ? À quoi ça sert de s’exprimer si on n’est finalement pas compris ? Et non seulement je ne vois pas l’idée que tu essayes d’exprimer avec le vocabulaire choisit mais est-ce que tu penses que c’est correctement transmis ? Essaye d’apprendre les nuances des mots que tu choisis pour outrepasser ça :) |
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Sexe : Messages : 191 Date d'inscription : 15/05/2015
| | | Merci beaucoup [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ! (je croyais jamais le voir ton avis sur cette joute o:) - Citation :
- il me rappelle une conversation que j’ai eu avec quelqu’un il y a longtemps qui écrivait très bien mais qui étalait son vocabulaire et ses néologismes tout au long de ses textes.
C'est exactement la même chose chez moi. Quand j'écris j'en fais des tonnes et du coup au final ça donne un texte au ton pompeux... C'est mon plus gros problème et j'aimerais sérieusement y remédier et m'améliorer là-dessus. >_< Mmmh quant à cette conversation, disons que je ne ressens pas vraiment de lassitude. Je pense que c'est juste dû à mon caractère en fait. ^^' En tout cas merci de l'avoir partagée, ça me permet de comprendre certaines choses. - Citation :
- Mais même si l’idée est exprimée le plus clairement possible pour l’auteur est-ce que ça reste clair pour le lecteur ? À quoi ça sert de s’exprimer si on n’est finalement pas compris ?
Aucun intérêt ouais.. - Citation :
- Et non seulement je ne vois pas l’idée que tu essayes d’exprimer avec le vocabulaire choisit mais est-ce que tu penses que c’est correctement transmis ? Essaye d’apprendre les nuances des mots que tu choisis pour outrepasser ça :)
Bah pour moi ça l'est un minimum. Pour les autres apparemment non. Je vais donc suivre ton conseil même si je n'ai aucune idée de comment m'y prendre.. Et j'ai quelques questions : dois-je privilégier les phrases courtes aux complexes ? Ou alors est-ce qu'on les enchaîne sans se soucier des longueurs ? Est-ce que j'ai tendance à trop/pas assez décrire ? Voilà ce sera tout. Encore merci pour ton avis très constructif ! |
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Sexe : Messages : 1034 Date d'inscription : 26/10/2014
| | | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] qui ne m'a jamais répondu ici... Une réponse à me fournir peut-être ? ><' Je vous invite à donner vos avis si vous voulez encore ajouter quelque chose avant de procéder au verrouillage du sujet. Ça peut toujours être intéressant, n'hésitez pas ! |
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Sexe : Messages : 1034 Date d'inscription : 26/10/2014
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