Dans un hôpital, un docteur prend l'ascenseur qui se vide progressivement jusqu'à ce qu'il ne soient plus que deux. Soudainement, l'ascenseur se met à descendre, jusqu'au sous-sol, la morgue. Là, un enfant s'approche de l'ascenseur en interpellant les deux hommes : il veut monter mais le docteur ferme immédiatement la porte. L'autre personne dans l'ascenseur lui demande alors pourquoi il n'a pas laissé l'enfant monter ?
Ce fut au docteur de demander : "Vous avez vu l'étiquette rouge qu'il avait au poignet ? C'est ce qu'on met aux morts..." et à l'homme de répondre en levant son poignet : "Vous voulez dire comme celle-là ?"

Dans un petit canton de France, loin de la pollution parisienne : Marion est souvent seule dans sa grande maison isolée du monde, le genre de maison trop grande pour une personne seule qui vous pousse à vous réfugier dans une pièce. Ses parents rentrent tard tous les soirs et ont donc décidé de lui acheter un chien, pour la rassurer, un chiot husky. Une nuit, elle est réveillée par un bruit d'eau qui goutte. Elle se lève et va fermer le robinet de la salle-de-bain. En se recouchant elle glisse sa main sous son lit et son chien la lui lèche. Cela la rassure. Elle a l'habitude de faire une petite caresse à son chien, mais celui-ci se blottit souvent très loin sous le lit.
Le bruit continue et elle décide d'aller resserrer le robinet dans la salle de bain. Elle se recouche et glisse de nouveau sa main sous son lit, son chien la lèche de nouveau. Mais le bruit continue et Marion n'arrive pas à dormir. Elle fait un dernier tour de la maison sans rien trouver, et se recouche donc en glissant sa main sous le lit. Le chien la lèche encore une fois.

Le bruit est toujours là et marion décide de localiser sa provenance : le son vient de son placard. En l'ouvrant elle découvre son chien égorgé, suspendu par les pattes arrières, se vidant lentement de son sang. Sur la porte du placard un message écrit en lettre de sang qu'elle lit à l'instant où elle ressent une dernière fois cette sensation humide sur le bout de sa main : "LES HUMAINS AUSSI PEUVENT LÉCHER"

Papa Noël,


Moi et ma petite sœur Suzie, on a passé un super Noël avec toi ! Même si j'ai pas très bien compris pourquoi au lieu de descendre par la cheminée, tu es resté debout devant la fenêtre de ma chambre.
En tout cas je regrette pas de t'avoir ouvert, tu nous as bien fait rire avec ta tête rigolote et ton manteau rouge et blanc, en plus les jouets que tu m'a donnés sont super !
Mais, s'il te plaît, même si tu as dit que tu t'énerverais si on te le demandait, est-ce qu’on peut revenir sur ce marché ?
Papa et maman me manquent, et Suzie sent mauvais, en plus elle ne fait que pleurer, et moi aussi ça me fait pleurer !

PS : Je te rendrai les jouets, tiens, je te rends même notre photo tous les trois !

ATTENTION IMAGE CHOC (ABSOLUMENT PAS POUR LES PETITS°:

Un soir, une mère dit à ses quatre enfants qu'elle a rendez-vous avec un homme qui pourrait s'avérer être leur nouveau papa, elle leur demande de ne pas veiller trop tard et de dépasser la limite de 22h30, de s'enfermer à clé dans leur chambre et de prendre leur pyjama dans la grande penderie. Elle précisa que maman serait toujours là pour veiller à ce qu'ils respectent les règles et qu'elle les aimaient.

Comme tous les enfants du monde, ils regardèrent un film et oublièrent de se coucher quand l'heure était venue. Ils finirent par monter dans leur chambre vers 1h30 du matin. Le plus grand s'amusait à chambrer ses frères et sœurs, il verrouilla la porte et se dirigea vers la grande armoire.

- Bon Dylan, fais gaffe, tu sais que qu'après 2 heures les fantômes et les monstres viennent de maaaaaaanger - fit le grand frère moqueur, levant les bras pour impressionner son jeune cadet.
- Arrête Justin, arrêeeete, dis lui d'arrêter Julie - cria-t-il en pleurant.
- Laisse le tranquille Justin, on va encore passer une mauvaise nuit après, tu sais que ses terreurs nocturnes sont ingérables.
- On peut aller dormir ? Je commence à être fatiguée - balbutia la dernière.

Justin s'approcha pour ouvrir la porte, en continuant à essayer d'effrayer tous ceux qui se trouvaient dans la pièce. Il n'eut que le temps d’entrouvrir la porte qu'il fut agripper par le col, avant même qu'il ait eu le temps de crier, sa gorge fut tranchée avec une précision chirurgicale, recouvrant ses frères et sœurs d'hémogobine, il chuta sur le sol et fut aspiré dans l'armoire. Tous les gosses crièrent. Le plus petit se mit à pleurer. La grande sœur bien qu'apeurée gardait les idées claires.

- Justin ! Il a la clé ! Il nous faut cette clé. Dit-elle d'une voix ferme.

Elle courut jusqu'à l'armoire et l'ouvrit rapidement. Il n'y avait rien à l'intérieur, elle se pencha derrière les vêtements et s'arrêta brusquement.

- Julie ? demanda le petit frère sanglotant.

Il s'approchait en serrant fort le doudou qu'il avait dans la main. En tirant sur la poche du jean de sa sœur, son corps sans vie tomba dans la pièce décapité. Il se mit à crier et attrapa le canif qui traînait parmi leurs jouets, objet illicite qu'ils gardaient pour torturer quelques insectes. Il ouvrit l'armoire et agita son couteau dans tous les sens. Deux doigts volèrent dans la pièce, coupés dans la panique à leur agresseur. Il se mit à courir vers la porte après avoir contemplé le visage de celui-ci en tapant dessus, la petite dernière qui s'était réfugiée sous le lit contemplait cette scène atroce. Une ombre surgit de l'armoire et fondit vers la porte, elle empala l'enfant de nombreux couteaux, et disparut une fois de plus dans la grande penderie. Huit heures passèrent et le traumatisme de la petite s'estompait pour laisser place à un esprit vidé. La porte d'entrée se fit entendre et dans la panique elle se leva, pensant voir sa mère pour qu'elle puisse la sauver. La porte s'ouvrit, porte qui était fermée à clé jusque lors. Elle arriva en pleurant dans le salon et trouva sa mère qui préparait à manger.

- Maman ! Tout le monde est mort ! Il faut appeler la police ! Dylan est empalé sur la porte et les deux autres sont complètement dé... hurla-t-elle.

La mère qui ne semblait guère étonnée continuait à agir normalement. Elle tendit la main en direction de sa fille.

- Peux-tu me passer la carafe d'eau ?

La petite fille s'arrêta net, contemplant la main meurtrie de sa mère, à laquelle il manquait deux doigts.

Maman sera toujours là pour toi~

Un homme arrive dans un hôtel et demande une chambre. A l'accueil, en lui donnant sa clef la réceptionniste lui dit qu'il y avait une chambre sans numéro au bout du couloir fermée à clef et qu'il ne doit surtout pas essayer ni d'y entrer n'y de voir l’intérieur ! L'homme rejoignit sa chambre tranquillement, ignora la porte et se mit au lit. Évidemment, le deuxième soir, l'homme rongé par la curiosité tenta d'ouvrir la porte. C'était fermé, bien sure... Il se baissa et regarda à travers la serrure.
Il vit que c'était la même chambre d’hôtel que la sienne, mais dans un coin, une femme était assise, la tête appuyé contre le mur et lui tournant le dos. Elle était tellement blanche et pâle... Il fut tenté de frapper à la porte mais s'abstint. C'est probablement ce qui lui a sauvé la vie. Le lendemain, il retourna de nouveau devant la chambre sans numéro et regarda par la serrure : Cette fois, tout ce qu'il vit c'était... du rouge, dense et compact... Peut-être que la veille les occupants de la chambre se sont rendu compte que quelqu'un les observait et ont bloqué le trou de la serrure avec un truc rouge ?
A ce moment, il décida d'aller consulter la réceptionniste. Elle soupira et dit : " Avez-vous regardé à travers la serrure ?" L'homme lui raconta son aventure et elle poursuivi : "Eh bien, autant vous dire la vérité. Il y a longtemps un homme a tué sa femme dans cette salle, et depuis son fantôme hante les lieux. Mais ce couple n'était pas très ordinaire : Ils étaient très pâme, blancs sauf leurs yeux, qui étaient complétement rouges".