Réputation du message : 100% (3 votes) Coucou! J'ai posté mes dessins y'a pas longtemps, et je me suis décidée à partager avec vous quelques textes. J'en ajouterai un peu plus tard, parce que là j'ai pas mon ordi du coup j'ai pas tous mes textes. >< Du coup voilà une série de trois textes qui dépeignent un personnage que j'ai inventé. J'ai fait ça bizarrement, mais bref. Le premier dépeint un peu son physique, le deuxième sa personnalité et le troisième son histoire. - #1:
Chaque nuit je la vois là-bas. Je la vois passer, lentement, doucement, comme une ombre. J'ai même l'impression qu'elle vole, parfois. À chaque fois, j'ai l'impression qu'elle a le poids du monde qui pèse sur ses épaules. On dirait qu'elle ne le sait pas. C'est étrange, tu sais. Elle marche droitement, fièrement, mais parfois on dirait qu'elle baisse sa garde et ses épaules s'affaissent. Un peu comme si la vie mettait un peu plus de poids, comme pour dire «hé je suis là».
Le froid vent de Décembre fait onduler ses cheveux pourtant si raides sur ses frêles épaules. À chaque coup de vent, on voit une couleur différente. On dirait qu'elles éclairent la nuit. Un peu comme si cet arc-en-ciel qu'elle a dans les cheveux était la seule chose qui lui permettait de ne pas se perdre dans toute cette obscurité. Un peu comme si, sans ça, on ne pouvait pas la voir. Ça me donne envie de pleurer. C'est comme si elle avait essayé de mettre de la couleur sur une toile en noir et blanc. C'est comme s'il y en avait, mais qu'on arrivait pas à les distinguer. Comme si, peu importe le nombre de couleur qu'elle ajoutait, on ne voyait toujours que du noir et du blanc.
Ses vieux docs tout pourris traînent à chaque pas qu'elle fait, et j'ai l'impression qu'elle a envie de s'effondrer là, maintenant. Pourtant elle continue d'avancer, comme si elle n'avait pas le choix, comme si c'était tout ce qu'elle savait faire. La pleine lune se reflète sur sa peau de porcelaine toute trouée. Un peu comme si elle avait voulu trouer autre chose que son coeur, un peu comme si elle avait voulu que personne ne remarque.
Ses grands yeux roses me regardent comme si je n'existais pas vraiment. Et je me demande pourquoi elle cache ses jolis yeux bleus. Et après je me souviens que c'est parce qu'elle ne veut pas qu'on voit en elle. Parce qu'elle croit que nos yeux ce sont comme des fenêtres. Et si on regarde par ces fenêtres, on peut voir l'âme des gens. Mais Kendall elle ne veut pas qu'on voit son âme toute usée. Kendall elle veut qu'on ne voit rien. Elle veut cacher ses yeux fatigués par le temps, faire comme si rien n'était jamais arrivé.
Son t-shirt trop grand flotte au vent. On dirait presque c'est son âme qui essaie de s'en aller. Comme si elle voulait aller se perdre dans la nuit. Ses bas troués et dépareillés recouvrent ses fines jambes. Un peu comme si elle essayait de se réchauffer sans vraiment le vouloir. Un peu comme si elle essayait de chasser cet hiver qui s'est installé en elle un soir de Décembre.
Et Kendall elle rit. Elle rit beaucoup. Et plus elle rit, plus j'ai l'impression de voir une poupée de porcelaine en train de se casser. Et puis une larme coule le long de sa joue. Elle rit, Kendall. Mais à l'intérieur, elle se noie tranquillement. Lentement. Toujours.
Parce que c'est la nuit qui la rend si belle.
- #2:
« Petit Papillon S'en va chercher la mort Pour lui dire deux mots, Donne-moi mon passeport »
Un petit papillon meurtri. Meutri par la vie et toutes ses conneries. C'est un petit papillon à qui on a arraché les ailes. Mais qui essaie quand même de voler. Un petit papillon qui ne sait pas où aller, qui est perdu quelque part entre le soleil et la lune. Un petit papillon magnifique, mais tellement fragile. Qui s'enferme dans un cocon d'illusions. Un petit papillon qui ne veut rien voir si ce n'est que d'éphémères souvenirs. Des souvenirs qui l'emmènent vers une utopie sépulcrale. Et le petit papillon essaie de voler. Infiniment. Mais le petit papillon agonise, agonise tellement fort. Alors il recoud ses ailes, le petit papillon. Il rattache tous ses morceaux et essaie encore.
« Et dans son sac-poubelle La mort la trouve tellement belle Elle lui roule une grosse pelle Lui jure un amour éternel »
Elle a toujours l'air un peu perdue, Kendall. Ses yeux regardent quelque chose que l'on ne voit pas. Elle a l'air ailleurs. Et ce quelque part a l'air loin, tellement loin. Elle fait semblant de ne rien comprendre. Elle a l'air un peu stupide, Kendall. Mais elle ne l'est pas vraiment. Elle fait semblant parce que c'est le seul moyen qu'elle a trouvé pour ne pas disparaître dans cette noirceur. Ne pas comprendre et faire comme si. Comme si tout allait bien. Comme si rien n'existait. Comme si sa vie n'était qu'une bête illusion. Pour se dire qu'elle allait se réveiller bientôt. Pour se faire croire qu'il y avait une porte de sortie quelque part. Alors oui, Kendall elle est ailleurs, oui parfois elle ne vous écoute pas vraiment, oui elle fait semblant presque tout le temps. Mais si elle le fait, elle le fait pour ne pas claquer, Kendall.
« Petit Papillon, Jamais tu ne mourras Tu es à moi, je suis à toi Tu n'as pas le choix »
Kendall elle sourit toujours. Elle ne sait pas pourquoi, mais elle le fait. Elle a l'air heureuse souvent, Kendall. Mais quand on s'approche, on voit que son sourire il pleure. Il pleure beaucoup, son sourire. Il crie «à l'aide». Silencieusement. Tout bas. Comme si elle voulait qu'on l'entende, mais pas trop. Juste un peu. Alors nous aussi on fait comme si. Comme si Kendall elle était heureuse. Comme si Kendall elle n'était personne. Comme si on avait pas vu toute la détresse dans son sourire fissuré qui refuse de s'effacer.
« Petit Papillon Se lance vers la mort Un poignard à la main Douze coups de surin Tiens, tiens, tiens la mort! Tiens, meurs! La mort »
Elle a vécu trop longtemps, Kendall. Beaucoup trop, assez pour savoir que l'amour n'est pas un devoir. Que la haine se répand plus vite qu'un virus. Que la peur c'est qu'une connerie. Parce qu'elle n'a pas peur, Kendall. Elle n'a pas peur de vous perdre, elle n'a pas peur de vous décevoir. Parce que de toute façon, Kendall elle est là par hasard, elle est là alors qu'elle n'aurait même pas dû l'être. Elle s'en fout, Kendall. Elle s'en fout parce que si elle s'en soucie, elle va se noyer. Se noyer dans cette eau noire qui lui tend les bras. Parce que l'amour c'est sa fin à Kendall.
« La mort est un petit papillon Qui trouve le temps long Attendant le prochain wagon Le prochain petit papillon »
Kendall elle fait semblant. Semblant de rire, semblant de pleurer, semblant d'être en colère, semblant de vivre, semblant de mourir. Kendall elle est là mais elle est ailleurs. Elle vous regarde mais elle ne vous voit pas. Elle vous parle mais ne vous écoute pas. Kendall elle fuit. Elle fuit parce qu'elle a affronté trop longtemps. Parce que rien ne fonctionnait. Parce qu'elle en a marre, Kendall. Elle ne veut plus, elle ne sait plus. Kendall on dirait qu'elle a pris tous les maux du monde sur ses épaules.
On l'a détruite. On l'a tuée.
Doucement, à petits feux. Pour ne pas qu'elle voit, pour ne pas qu'elle suffoque. Alors elle est morte lentement, Kendall. Elle est partie, et tout ce qu'il reste d'elle c'est ce paquet d'indifférence, de ''comme si''.
Kendall c'est un petit papillon. Un petit papillon qui veut voler mais qui n'a plus d'ailes. Un petit papillon qui veut tellement partir. Un petit papillon qui n'arrive plus à rien. Un tout petit papillon.
« Petit Papillon avait le coeur trop tendre Décide de se pendre Mais la corde de se fendre
Elle essaie à nouveau Se lance sous les autos Se réveille dans les canots Trempée jusqu'aux os
Petit petit papillon Comme le temps est long. »
- #3:
C'est une froide nuit d'hiver qu'elle m'a raconté son histoire, Kendall. Elle m'a dit de ne pas pleurer. Elle m'a dit que ce n'était ni triste, ni joyeux. Elle m'a dit que c'était comme une toile en noir et blanc. Elle m'a dit que c'était un peu comme le vide. Qu'il y avait plein de choses, mais tellement de choses vides de sens, vides de vie, vides de tout. Elle m'a dit qu'elle n'avait jamais raconté son histoire. Et elle m'a dit qu'elle ne la raconterait plus jamais après ça. Alors elle m'a dit de bien écouter. Elle m'a dit que son histoire ne valait pas grand-chose. Et elle a souri. Et j'ai vu une petite larme couler le long de sa joue. Je n'ai pas pleuré. J'ai souri.
Kendall elle m'a dit qu'elle avait une maman. Une maman vraiment géniale, qui l'aimait et qui aimait la vie. Qui avait juré d'être toujours là pour elle. Elle m'a dit que c'était un femme qu'on ne rencontre pas souvent. Une femme avec un si grand cœur, tellement grand qu'on se demande comment il fait pour tenir dans sa cage thoracique. Une femme forte, qui souriait tout le temps. Qui ne pleurait jamais. Kendall elle m'a dit qu'elle l'aimait beaucoup, sa maman. Et qu'elle s'en voudrait toute sa vie d'être partie comme ça. D'être devenue une ombre alors qu'elle avait un soleil dans sa vie.
Kendall elle m'a dit qu'elle avait aussi un papa. Un papa vraiment génial. Enfin, elle pense. Elle m'a dit que son papa était mort quand elle avait treize printemps. Elle m'a dit qu'il était parti sans prévenir. Qu'il était allé dormir mais qu'il ne s'était jamais relevé. Comme la belle au bois dormant. Sauf que lui c'était pas une princesse, alors il est resté endormi. Comme gelé dans le temps. Elle m'a dit que c'était le printemps. C'est joli, le printemps. La neige fond, le soleil revient, ça sent bon et on a envie de chanter. Kendall elle m'a dit qu'elle était comme ça, avant. Elle aimait bien le printemps. Mais après ça, c'était toujours gris au printemps. Il pleuvait tout le temps, au printemps. Il n'a plus jamais fait beau, au printemps.
Mais Kendall elle a continué de vivre, tu sais. Elle a souri et s'est dit que la vie elle continue. Que c'était un peu comme un bateau ; on est déjà dedans alors on reste, on ne saute pas dans l'eau comme ça. Alors elle m'a dit que les années avaient passées. Qu'elle habitait avec sa maman, qu'elle allait à l'école et qu'elle avait des amis. Elle m'a dit qu'elle allait bien. Enfin, elle pense. Elle m'a dit qu'elle ne s'est jamais demandé si elle allait bien; elle souriait, c'est tout. Elle se disait que si elle souriait, tout allait bien.
Et puis elle m'a dit qu'un jour elle avait rencontré un joli blond. Pas si mauvais garçon, mais pour le reste plutôt con. Elle m'a dit qu'elle l'aimait, ce joli blond. Beaucoup même. Mais voilà quoi, un jour il est parti comme ça. Sans vraiment rien lui dire. Pouf, disparu. Elle m'a dit qu'elle a beaucoup pleuré. Et encore plus quand elle a su qu'il était parti parce qu'il avait trouvé mieux qu'elle. Elle m'a dit que les blonds sont sans cœurs, qu'ils ne donnent pas de fleurs. Et elle m'a dit que lorsqu'ils partent, ils s'enfuient avec un petit bout de notre vie.
Mais Kendall elle m'a dit qu'elle a fini par se relever. Enfin, elle pense. Elle tenait debout, alors elle se disait que tout allait bien. Je crois qu'elle avait peur de regarder en face tout ce qu'elle avait à affronter. Elle m'a avoué qu'elle fuyait toujours. Mais la vie continuait. Elle m'a dit qu'après elle a rencontré un beau brun. Et elle m'a dit que les bruns c'étaient pas mieux que les blonds.
Et puis après ça, Kendall elle m'a dit qu'elle s'était laissée couler. Un petit peu. Elle était essoufflée de toujours se débattre à la surface. Alors elle m'a dit qu'elle a arrêté deux trois secondes. Elle m'a dit qu'après, elle a voulu recommencer à nager, elle a voulu remonter et sortir sa tête de l'eau. Mais elle n'y arrivait plus, qu'elle m'a dit. C'est comme si, quand tu commences à te laisser couler, l'eau prend le dessus et elle ne te laisse plus partir. Elle veut te garder. Alors elle m'a dit qu'elle a coulé, puis coulé, puis coulé.
Mais elle m'a dit qu'elle ne voulait pas que les autres voient qu'elle se noyait en dedans. Alors elle m'a dit qu'elle a commencé à faire semblant. À force de faire semblant, elle s'est presque prise les pieds dans son monde d'illusions. Mais elle m'a dit que ça été éphémère tout ça. Un matin elle m'a dit qu'on se réveille et c'est comme si une vague nous était passé par dessus la tête alors qu'on reprenait le dessus. Ça goûte salé et on s'étouffe.
Elle n'arrivait plus à rien, Kendall. Elle m'a dit qu'elle marchait la nuit parce qu'elle avait l'impression de disparaître dans la noirceur. Qu'elle avait l'impression que la nuit la prenait dans ses bras pour la consoler. Elle marchait que la nuit, Kendall. Elle m'a dit qu'elle ne savait pas trop pourquoi elle était si triste, si vide. Elle avait une vie ordinaire, après tout. Elle était tout le monde, Kendall.
Elle m'a dit qu'un jour elle a essayé de se laisser couler pour de bon. Mais elle m'a dit que même la mort n'avait pas voulu d'elle. On l'avait repêchée comme un petit poisson. Un petit poisson qui avait les yeux tout ronds d'être encore en vie.
Elle m'a dit qu'elle était fâchée, Kendall. Fâchée de ne même pas être foutue de se noyer. Elle m'a dit que ça avait fait beaucoup de mal à sa maman, tout ça. Alors elle m'a dit qu'elle avait pris un billet d'avion. Un aller simple. Elle m'a dit qu'elle s'en foutait bien d'où elle allait; elle voulait juste partir. Partir pour voir si tous ces maux allaient la suivre. Partir pour essayer de tout recommencer. Alors elle a demandé un ticket pour le prochain vol. Elle m'a dit que c'était vers le Japon.
Alors elle est arrivée au Japon un matin de Janvier. Le soleil lui piquait les yeux et la neige lui gelait les pieds. Elle m'a dit qu'elle avait laissé une note pour sa maman avant de partir. Elle m'a dit que ça disait qu'elle ne devait pas s'inquiéter, qu'elle l'aimait beaucoup mais qu'elle ne reviendrait pas. Et elle m'a dit qu'elle s'excusait. Beaucoup.
Kendall m'a raconté qu'elle a passé quelques mois au Japon. Mais que rien n'avait changé. Elle m'a dit que ce vide l'avait suivie, que rien ne l'avait rempli. Même pas les jolis cerisiers. Elle m'a dit qu'elle n'arrivait plus à rien. Elle n'avait plus un sous, plus d'amour, plus de volonté. Alors elle m'a dit qu'un soir d'hiver, il faisait très froid. Il y avait une pleine lune et tout plein de jolis flocons qui tombaient lentement, presque au ralenti. Elle m'a dit qu'elle était sortie dehors. Sans mettre de manteau. Sans mettre ses vieux docs.
Kendall m'a dit qu'elle a marché longtemps. Peut-être même trop longtemps. Elle regardait la nuit. Elle écoutait son silence. Elle ne savait plus. Elle m'a dit qu'elle ne sentait plus ses pieds. Elle ne sentait plus rien. Enfin. Et elle m'a dit qu'elle s'était allongée dans la neige. Qu'elle avait laissé les flocons venir chatouiller son nez. S'empiler sur son corps tout frêle, tout fatigué. Et tu sais ce qu'elle m'a dit? Qu'à ce moment-là, elle était vraiment heureuse.
Et puis Kendall elle s'est endormie. Elle a fermé les yeux alors que la neige la recouvrait tranquillement. Elle s'est sentie comme la belle au bois dormant, qu'elle m'a dit. Et finalement, tout est devenu noir. Enfin. C'était terminé.
Et après, elle m'a dit qu'elle s'était réveillée devant un panneau qui indiquait Miyona. Elle a secoué toute cette neige qui la recouvrait et elle est entrée dans cette étrange ville. Cette ville qui lui semblait aussi tourmentée qu'elle. Elle m'a dit qu'elle est allée vers l'hôtel. Elle a demandé une chambre. Pour l'éternité.
Et Kendall, elle m'a surtout dit que sa vie lui semblait comme un rêve lointain. Et quand elle m'a dit ça, elle souriait. Elle souriait si fort. Et j'ai vu que son sourire pleurait. Il pleurait beaucoup. Alors je lui ai souri. Et elle est partie.
Elle est partie lentement, Kendall. Et à ce moment-là, je me suis dit qu'elle avait enfin retrouvé ses ailes.
Voilà si ça peut intéresser quelqu'un... et vous pouvez me donner votre avis si vous avez lu, c'est toujours intéressant. ^^ Relu par Nareshi |
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Sexe : Messages : 24 Date d'inscription : 04/10/2015
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Alors.. je me permet de me ramener même si je ne suis pas du tout une experte en écriture.. et en plus je n'ai lu que le premier texte, gomen À mon avis tu utilises un bon vocabulaire mais tu l'utilises mal dans la description je trouve. On dirait que tu as un schéma dans ta tête pour toujours utiliser "comme" et "on dirait". Donc ça rend la description beaucoup trop répétitive parce que tu utilises toujours les mêmes procédés. Et voila, c'est quelque chose qui m'a tapé dans l'oeil. Bien évidement ce n'est que mon avis.. pas besoin d'y faire très attention xD |
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Sexe : Messages : 85 Date d'inscription : 21/10/2015 Localisation : Suisse
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Réputation du message : 100% (1 vote) C'est gentil de donner ton avis, MyDibora, mais je ne crois pas en tenir compte dans mes prochaines compositions, malheureusement. ^^
J'utilise beaucoup l'Anaphore quand j'écris, particulièrement dans ces trois textes. Comme tu n'as lu que le premier, où il y en a le plus, tu n'as pas pu tenir compte du reste.
J'ai gagné deux concours de littérature au niveau Universitaire avec ces textes, du coup, je crois qu'à ce stade les goûts personnels entrent en jeu. J'écris comme ça et on m'a toujours dit que c'était ma force, que ça donnait une sensibilité à mes textes. Alors voilà. Et puis, mélanger trop de procédés devient chaotique à mon humble avis. On a tous des préférences différentes je crois! ^^
Merci quand même pour ta critique et pour ta lecture du premier texte, c'est gentil. ;) |
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Sexe : Messages : 24 Date d'inscription : 04/10/2015
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Oh ! Et bein, quand je disais que j'étais pas une experte.. x). J'ai honte, avec toute la reconnaissance que tu as eu pour tes textes tu as des gens inexpérimentés comme moi qui parlent un peu trop sans le savoir.. On peut dire que j'ai appris quelque chose de nouveau (encore) même si c'est pas un style d'écriture que j'apprécie (pour le moment, les goûts évoluent **) Et tout cas désolé pour cet avis inutile Mais merci de l'avoir lu ^^'' Et gambate pour tous tes futurs textes !! |
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Sexe : Messages : 85 Date d'inscription : 21/10/2015 Localisation : Suisse
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C'est pas inutile, t'inquiètes. C'est bien de voir des gens qui apprécient mes écrits, mais c'est bien de voir l'envers de la médaille aussi et de savoir pourquoi ils peuvent moins plaire à certaines personnes.
Un avis, positif ou non, venant d'une personne expérimentée ou non, c'est toujours utile. Pour moi en tout cas. ;) |
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Sexe : Messages : 24 Date d'inscription : 04/10/2015
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