Bon suite au sondage et à l'engouement de 6 personnes j'ai décidé de relancer les joutes écrites.
Les règles se trouvent
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] mais nous allons modifier deux trois trucs pour que ce soit un peu plus juste. Déjà vous devrez envoyer vos textes par MP à moi-même ou
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] selon qui poste le premier message de joute (on collabore pour les organiser étant donné que ma prochaine année se résumera pour moi en gros à de la présence fantôme).
Ainsi nous pourrons faire un vote anonyme avec vos textes. Il faudra donc préciser le thème sur le MP du style : Participation aux joutes écrites : thème choisi pour cette joute.
Bon commençons avec ce premier thème
Les vacances d'été
Désolée j'ai pas eu d'autre idée plus intéressante et c'est quand même vachement libre vous pouvez écrire vos vacances d'été de rêves etc... Soyez créatifs !
Vous avez jusqu'au 27 août 2015 23h59 pour me rendre vos textes par MP
Nous procéderons par la suite à un vote durant une semaine (et les non participants peuvent voter)
Participation n°1 : Des vacances rocambolesques
Aujourd’hui sonne le début des vacances d’été. Nous nous sommes tous préparés à partir en croisière avec des membres de la famille de ma mère : sa tante, le mari de sa tante et sa fille. C’est surtout eux qui ont voulu qu’on vienne, il faut dire à cause d’affaires familiales on est assez en froid depuis des années.
Nous voici donc sur le quai, moi ma sœur et mes parents attendant que les autres arrivent.
Mon père est gentil, pour nous c’est un marshmallow sous une fine couche de béton armé. Ma mère je la trouve sublime avec ses cheveux blonds bouclés ; j’aimerais bien lui ressembler, par contre faut pas se tromper, si elle s’énerve autant ne pas être sur son chemin et plus têtue on meurt. Et il reste moi Alyss et ma sœur Cloé, on se ressemble assez, des cheveux châtains clairs, assez courts, on s’entend très bien, sûrement parmi les meilleures sœurs du monde.
Un bruit de voiture et un klaxon nous fait se retourner, et on voit enfin les autres qui arrivent. La tante de ma mère : Isabelle est une femme âgée, l’oncle Remond son mari aussi ridé que la reine Elisabeth et leur fille Nina, une sale peste du haut de son mètre 40.
Après avoir discuté un peu nous sommes montés dans le navire et on nous a menés à nos cabines, moi est ma sœur étions dans une cabine et nos parents une autre, une fois les affaires rangées nous sommes parties vers les piscines, nos maillot de bain enfilés (évidemment la première chose qu’on a voulu savoir était de combien de piscines disposait le navire !) Une journée en croisière est vite passée, on a dû rentrer nous changer pour dîner dans la salle à manger du bateau. Prêts, nous sommes tous descendus de nos chambres, moi est ma sœur traînant un peu pour admirer le bateau et discuter. Une fois arrivées on a eu la surprise de voir que les autres étaient déjà là mais qu’il manquait l’oncle Remond. Une fois assise, la tante de ma mère a expliqué que comme il ne se sentait pas bien il a préféré se faire livrer des Sushis directement en cabine. Autant l’avouer, moi est ma sœur n’étions pas du tout triste de cet état de fait, pas au point d’être heureuses mais bon. Le dîner s’est plutôt bien passé, calme, avec quelques discussions par-ci par-là, après Isabelle proposa de finir la soirée sur le pont, en montant on a décidé de passer par nos cabines voir si l’oncle Remond voulait monter avec nous. Nous préférions rester à l’extérieur le temps que tante Isabelle lui demande et notre papotage a repris, moi et ma sœur sur les mangas qu’on avait emmenés avec nous quand soudain elle se mit à crier de la cabine. On se précipite tous pour savoir ce qu’elle a quand on la trouve par terre face au corps inanimé de son mari...
Mon père était parti vite prévenir le personnel du navire, ma mère essayant de calmer sa tante et sa cousine. Nous ne savions pas que faire dans ces moments alors on finit par sortir et attendre dehors. Papa est vite revenu, le médecin, le capitaine et d’autres membres du personnel du bateau avec lui. Le médecin conclut à une insuffisance respiratoire, son teint rouge, la bouche tout laisse penser à ce diagnostic. Moi et ma sœur étions les seules à rester dehors, ne voulant pas nous mêler à tout ça on ne se sentait vraiment pas pour. Des éclats de voix nous arrivèrent de l’intérieur, on dirait des personnes qui s’engueulaient et on reconnut la voix de notre mère et celle de sa cousine Nina…
(Nina) -c’est toi, tu l’as tué ! Tu as toujours détesté papa, tu en as profité pour le tuer !
Non mais comment elle ose accuser notre mère comme ça ! Je réagis au quart de tour et m’élance en criant :
-Elle va voir la demi-portion ! Je vais lui péter les dents elle va rien comprendre du haut de son mètre 40 !!
Je ne pus pas faire un pas que ma sœur m’attrapa le bras et me tira en arrière :
-Ne t’emporte pas comme ça ! ça ne servira à rien que tu t’en mêles et maman peut très bien lui péter les dents toute seule..
Le capitaine sortit et demanda à voix haute que tout le monde regagne sa cabine ce soir.
On finit par regagner nos chambres, les propos de Nina avaient semé le doute dans nos têtes et ma sœur et moi nous regardions comme si on avait la même idée :
-Tu penses aussi qu’il a été peut-être tué? Ok il fumait beaucoup mais ce n’est pas une raison pour qu’il
meure maintenant depuis le temps, de plus il paraissait en forme et faisait des examens tout le temps...
-Je suis d’accord c’est très étrange, on mène l’enquête demain ? Autant dormir ce soir.
On finit par s’endormir et demain matin pris dans notre flegme on se changea, prépara nos affaires pour l’enquête : un sac avec un bloc-notes, appareil photo et tout ce qui peut être utile ! Nous sommes sorties, le pas conquérant, la tête haute, le cœur gonflé de fierté ! Nous faisions de grands pas dans le couloir quand d'un coup je me suis arrêtée.
-Heuuu… Cloé, on va où comme ça ?......
Oui on était sorties sans même penser à où on irait en premier… Bravo les pros !
-He bien on peut déjà commencer par les lieux du crime, on a entendu Nawal dire à sa mère de sortir prendre l’air donc la chambre doit être vide là...
Le soleil commençait déjà à décliner et on n’avait pas encore une seule piste. La fouille de la chambre n’avait rien donné, aucun indice nulle part, on avait même questionné les voisins de cabines mais ils n’avaient rien vu ou entendu, on avait soupçonné Nina, comme mobile le fait d’hériter d’une partie de l’argent et des entreprises de son père mais on a vite laissé tomber, il n’était plus tout jeune et laissait ses enfants gérer tout. On finit par regagner notre cabine et nous changer à nouveau, papa et maman nous on fait promettre d’être a l’heure pour le dîner.
On finit par descendre à la salle à manger, bredouilles mais avec une sacrée faim et on se promit de continuer l’enquête demain matin.
Le dîner était très tendu, avec d’un côté un silence embarrassant et de l’autre la gnome et notre mère qui se lançaient des regards assassins, le pire était qu’aucune ne voulait lâcher prise !
On mangeait discutant entre nous quand une agitation attira notre attention à l’autre bout de la salle. Nous levant pour mieux voir on finit par remarquer un vieil homme qui s’étouffait et des gens essayant de l’aider
-C’est le meurtrier qui frappe à nouveau ! On va peut-être savoir qui c’est ! s’écria Cloé
Puis d’un coup un Sushi s’échappa de la gorge de l’homme en s’élançant dans les airs et termina son épopée sauvage en atterrissant à nos pieds... et soudain la lumière se fit dans nos cerveaux
-Heu…, ce n’est pas des Sushis que oncle Remond a commandé hier soir ? dit cloé
-Un Sushi ? La mer a pris sa vengeance...
[size=32]TATATATAMMM ![/size]
Participation n°2 :Les vacances d'été
Au beau milieu de la rédaction des élèves, la sonnerie retentit. S'ensuivit ensuite un infernal vacarme qui couvrit la voix du proviseur. Lucie soupira bruyamment et attendit que tous les élèves soient sortis de la salle de classe. Quand les plus braillards furent partis, elle se leva et un sourire lui étira les lèvres : enfin les vacances d'été ! Elle rangea calmement ses affaires et prit son sac à dos. Elle s'apprêtait à sortir quand son professeur l'interpella :
-Lucie ! Je te remercie de ton excellente année. Il faudra continuer sur cette lancée à l'avenir dit-il la mine satisfaite.
Lucie s'empourpra légèrement et bafouilla d'un ton poli :
-Je.. c'est.. c'est moi qui devrais vous remercier de m'avoir aussi bien enseigné !
-C'est fort aimable d'entendre ça, fit-il avec un sourire. Allez, va ! Passe de bonnes vacances et repose-toi suffisamment pour revenir en pleine forme !
-Oui, merci !
Et elle s'empressa de quitter les lieux, mal à l'aise qu'on l'ait ainsi complimenté. Mais son sourire niais ne s'effaça toujours pas.
De retour chez elle, elle jeta ses affaires et s'affala de tout son poids sur son canapé. Elle soupira de soulagement et profita un instant de ce moment relaxant. Puis, soudainement, elle se releva et alla sur son ordinateur. Elle se sentait vraiment bien avec celui-ci. Elle posta un petit peu sur le forum où elle s'était inscrite deux semaines plus tôt. Lucie avait fait de belles rencontres sur ce forum. Elle pouvait partager ses passions en toute liberté : le dessin et l'écriture. De toute façon, elle ne vivait que pour ça. Et elle ne se sentait bien qu'en compagnie des membres du forum. En dehors de ça, elle avait quelques amies, bien sûr, mais elle ne les comprenait pas. Et puis, elle ne comprenait pas non plus la notion d'amitié.
Lucie allait donc encore passer ses vacances à rester sur son ordinateur pour discuter de choses et d'autres avec les membres du forum. Même si, au plus profond d'elle, elle était consciente qu'elle voulait les passer autrement. Elle rêvait de pouvoir profiter pleinement de la montagne en compagnie de ses parents. Elle souhaitait s'évader au plus vite de la ville et du monde. Ici, elle étouffait. Lucie avait déjà noté tout ce qu'elle envisageait de faire cet été, malheureusement elle savait que ses projets ne se réaliseraient pas. Ses parents avaient d'énormes problèmes financiers et ils se contrefichaient de Lucie et de son grand frère : Logan. Et de toute façon, ils n'étaient jamais à la maison donc elle n'espéra pas qu'ils puissent un jour passer de vraies vacances...
Soudain, la tirant de sa rêverie, elle entendit la porte s'ouvrir et frissonna. Pendant un moment, elle crut d'abord que ses parents étaient rentrés. Enfin, Logan apparut à l'extrémité de la porte, et Lucie soupira de soulagement.
Logan s'aperçut de sa mine soulagée.
-Qu'est-ce qui ne va pas ? Ce n'est pas enfin les vacances d'été ? fit-il avec un sourire.
Lucie marmonna une réponse presque inaudible :
-Mmh, c'est bien les vacances, seulement on ne va encore rien faire..
-Tu n'as pas tort, dit-il en soupirant.
Lucie se leva et retourna devant son ordinateur. Malgré la fatigue qui l'empêchait de se concentrer, elle resta un moment sur son forum. Puis elle se jeta sur son lit et étreignit son coussin tout contre son corps. Elle ferma les yeux et se laissa porter à des rêves qu'elle aurait aimé qu'ils deviennent réalité...
Lucie était étendue dans un champ, sur le dos, et elle admirait la montagne qui menaçait presque de s'écrouler pour l'ensevelir. Elle tourna la tête et aperçut les longs cheveux de Logan qui s'élevaient avec douceur. Elle se retourna complètement pour pouvoir regarder son visage ; il était tout aussi serein que le sien. Brusquement, Lucie se mit sur ses deux jambes et tira son frère de l'emprise des herbes. Elle ne lâcha pas sa main, elle s'élança vers les chemins qui s'étendaient au-delà des grottes et de toutes choses qu'elle souhaitait voir.
Plus tard, ils avaient atteint pratiquement le sommet de la montagne qui surplombait les Dugh.
Lucie était heureuse à l'idée qu'ils aient pu traverser autant de montagnes ensemble, en si peu de temps. Soudain, Logan sauta dans le vide et Lucie le suivit de près -puisqu'ils étaient toujours main dans la main. Ils s'étaient pris dans un courant ascendant. Désormais, ils étaient en mesure de toucher les nuages et de voir au-dessous les volatiles qui cherchaient des courants pour ne pas se servir de leurs ailes. C'était une prestation magnifique auquelle seuls Lucie et Logan étaient les spectateurs. Tous deux étaient conscients du privilège dont ils avaient bénéficié et ils profitaient de cette douce descente au maximum...
Lucie releva ses lourdes paupières et son rêve lui revint par bribes. Elle s'étira et poussa un cri de joie : même si ce n'était qu'un rêve, elle aurait au moins pu avoir de véritables vacances pendant un petit moment. C'est ce qui la réjouissait le plus : elle et Logan qui puissent avoir, certes, de courtes vacances mais c'étaient les plus belles depuis sa plus tendre enfance. Elle respira profondément et s'empressa d'aller décrire son rêve sur une feuille pour qu'il reste scellé afin qu'elle ne l'oublie jamais.
Participation n°3 :Le camp de vacances
C'était la première fois que Rose partait en colonie de vacances, elle était un peu effrayée de partir dans un lieu inconnu, parmi des gens inconnus. Elle aimait sa routine habituelle, sa maison, aller chez ses grands-parents comme tous les étés. Mais ses parents avaient voulu qu'elle rencontre de nouvelles personnes et voit de nouvelles choses. Qu'elle découvre le monde qu'ils ne pouvaient pas lui offrir. Ils avaient donc décidé de l'envoyer en colonie, elle avait pu tout de même choisir les activités. Elle avait longuement hésité entre le théâtre et les sports nautiques, ces deux plus grandes passions. Elle avait finalement opté pour une colonie de vacances tournant autour du théâtre.
Assise, accoudée à la fenêtre du bus, elle réfléchissait en somnolant. Elle avait peur de se retrouver en marge du groupe, et ses craintes n'avaient de cesse de s'amplifier depuis qu'elle était montée dans le bus. Personne ne s'était assis à côté et tout le monde semblait déjà se connaître.
Rose piquait du nez quand une voix joviale dit derrière elle :
-Comment tu t'appelles ?
Ça semblait être une jeune fille pleine d'enthousiasme et même si Rose avait sursauté au début, un sourire s'esquissa sur son visage de poupée. Elle se retourna et répondit joyeusement :
-Je m'appelle Rose et toi ?
-Fimy !
-C'est étrange comme prénom, rétorqua Rose surprise de voir une jeune fille au teint si hâlé.
-C'est normal, c'est d'origine slave. Le dérivé d'un nom d'une reine un style comme ça, je sais pas trop. Mais j'aime bien, personne ne le porte.
-Tu as raison, le mien est classique, j'aime aussi beaucoup ton prénom.
Le trajet dura un moment ainsi et Rose s'était liée d'amitié avec Fimy. Elles espéraient être dans la même chambre et par chance en s'installant elles découvrirent qu'elles n'avaient pas besoin de se séparer. Ça rassurait Rose de savoir une amie proche d'elle en toutes circonstances.
Après s'être installés, Rose et les autres enfants se rendirent dans une salle où le directeur les attendait pour leur soumettre le programme de leur séjour. Il était rassurant avec sa grande taille et son air gros nounours. Rose souriait, elle se sentait bien en ce lieu qui lui semblait féerique. Elle était assisse à côté de sa nouvelle amie et attendait patiemment de savoir quelle pièce avait été sélectionnée pour être mise en scène par la colonie de vacances.
-Cette année, nous avons décidé de modifier un peu les règles du jeu et pour cela nous avons décidé de prendre un scénario qui a été écrit pour un film qui sera bientôt réalisé. C'est une jeune auteure de talent qui a pondu cette histoire rocambolesque que vous êtes à même de comprendre.
Nous allons donc tenter de mettre sous forme de pièce de théâtre
Péripéties d'une princesse déchue, de Elena Panabach. Pour commencer, nous allons lire tous ensemble le scénario puis nous ferons des auditions pour choisir les rôles.
Le directeur sortit de la pièce et invita les enfants à le suivre. Il devait y avoir tout au plus une vingtaine d'enfants dans la colonie, ce qui était suffisant pour le nombre de personnages et de doubleurs. Rose n'espérait pas avoir un rôle important, elle ne se sentait pas suffisamment confiante pour supporter le poids d'une aussi lourde responsabilité. Fimy lui semblait parfaite pour incarner le rôle principal, et elle lui avait glissé à l'oreille qu'elle était très intéressée pour incarner l'héroïne de l'histoire. Arrivés dans une autre pièce où les tables étaient disposées en rond, les enfants s'assirent, Rose et Fimy toujours à côté l'une de l'autre. Le directeur passa un exemplaire du scénario à chacun des enfants et ils commencèrent la lecture tous ensemble. Rose était passionnée par l'histoire de cette femme du nom de Grace qui n'avait pas pu devenir reine à cause de son sexe et qui était consumée par son idée de vengeance. Elle était prête à tout pour récupérer le royaume où elle avait grandi pour mettre sa fille sur le trône. Au point même de tuer son frère, la femme de celui-ci et leur fille qui avait l'âge de sa propre fille. Rose s'identifiait plus dans le rôle de la fille de la reine, malgré la naïveté d'Elsy, elle l'appréciait et voulait faire son rôle. Fimy quant à elle préférait le rôle d'Hanaé, cousine d'Elsy, elle était débrouillarde et avait réussi à s'échapper de l'incendie causé par sa tante. Et c'est elle qui permettait à Elsy d'ouvrir les yeux sur la situation et permettre à Hanaé de récupérer le trône qui lui revenait de droit. Hanaé était pour Elsy ce que Fimy était pour Rose, une personne de confiance qui lui servait de guide.
Il était temps d'aller manger, la lecture du scénario avait pris l'après-midi entier et tous les enfants étaient heureux de pouvoir en faire une pièce de théâtre dans laquelle ils joueraient et feraient les décors et les costumes. Le lendemain matin auraient lieu les auditions pour les rôles, tous les enfants étaient très excités et aucun n'arrivait à s'endormir.
Lors des auditions, peu de filles s'étaient proposées pour jouer le rôle d'Elsy, en fait Rose était même la seule, elle eût donc le rôle sans trop de difficultés, Fimy avait eu moins de chance, Hanaé avait été perçue par tous comme l'héroïne de l'histoire et toutes les petites filles voulaient jouer son rôle, mais elle avait tout de même obtenu le rôle qu'elle désirait. Elles allaient commencer les répétitions et n'avaient déjà qu'une hâte : les montrer à leurs parents.
Relu par Nareshi