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| Avant de commencer allez lire les règles des Joutes Écrites si ce n'est pas déjà fait
______________________________________________________________________________________________ Pour cette première Joute Écrite , le thèmes sera arbitrairement choisi par moi-même Je vais donc choisir un thème qui mettra a priori tout le monde d'accord : L'écriture (c'est fait exprès que le thème soit vague) Voilà, bon courage et bonne chance à tous ceux qui tenteront l'aventure ______________________________________________________________________________________________ La première joute est maintenant terminée ! Nous allons donc passer à la deuxième ! Et le thème choisi par Kyandi est ... La Magie ! est : Noël Vous avez donc un mois soit jusqu'au 12 janvier 2015 pour écrire votre texte pour ce sujet ! Bonne chance à tous ! ______________________________________________________________________________________________ La troisième joute vient de débuter ! Son thème sera "Le Monde" et vous avez jusqu'au 17 février 2015 pour écrire quelque chose sur ce sujet ! Tous à vos claviers et que le meilleur gagne ^_^ Relu par Nareshi
Dernière édition par BrannKriger le Sam 17 Jan 2015, 14:48, édité 7 fois |
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Sexe : Messages : 1198 Date d'inscription : 13/01/2014
| | | Je vais faire un ptit texte demain et je posterai ça |
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Sexe : Messages : 3548 Date d'inscription : 13/06/2011 Localisation : Dans le TARDIS
| | | J'ai écris une petite fable (enfin c'est plus un mini comte), j'espère que je serais dans les 30 lignes, faut dire que 30 lignes c'est ultra short si on en veut pas écrire quelque chose d'autre qu'un poème.
Dans les méandres du temps, existait une montre sans aiguille. Rejeté par ses paires elle entreprit un voyage pour emplir le vide qui tiraillait ses rouages. Sur son chemin elle croisa Horlo, mère des horloges. La montre lui demanda : - Ho toi, Matriarche du temps prête moi ta sagesse. Sans aiguille je n'ai pas de but. Sans aiguille je n'ai aucun repère. Sans aiguille je n'ai aucune utilité. Que suis-je pour continuer ainsi ? Une série de gong raisonna. - Le temps, indéfini et défini. Flexible et inflexible. Passé, présent, futur tout est mélangé. Le rouage du temps est ce qu'une seconde est éternité, cent ans est une minute... Une série de gong raisonna et Horlo disparut.
La montre pas plus avancé par cette énigmatique révélation, continua alors sa quête et croisa un cadran solaire, vestige de l'ancien temps, dont le nom fut oublié. - Ho toi, Vestige du temps prête moi ton savoir. J'ère depuis tant de temps sans en connaître le temps. Ma quête me semble aussi loin qu'elle ne parait que passé. Que suis-je pour continuer ainsi ? Après un long moment de silence, une lumière étincelante enveloppa la montre. - Depuis des temps immémoriaux le temps s'écoule en continu, inéluctablement, fatalement. Ce qui est fait est défait. Depuis des temps immémoriaux le temps s'écoule au ralenti, inéluctablement, lentement. Ce qui est fait parait éternité. Puis le cadran solaire disparut.
La montre reprit alors son chemin en perdant elle même le but de son voyage. Au milieu du néant, elle croisa Chronex, un nombre en perpétuel changement. La montre décida une dernière fois à demander conseil. - Ho toi Patriarche de l'avenir prête moi ta vision. Je suis partie depuis tellement longtemps que j'en ai oublié ma quête. Où suis je sensé aller, moi qui se laisse porté par le temps sans en prendre le temps. Le corps de Chronex se mit à s'élargir en un nombre incalculable de chiffre. - Le temps défile rapidement. Cent ans parait une seconde, mille ans une minute, si bien que temps futur est déjà passé. Le futur changeant devient passé figé. Le corps de Chronex s'estompa et disparut. La montre sans aiguille n'avait toujours pas atteint son but. Elle abandonna alors sa quête qui n'était que souvenir et se laissa, lentement disparaître dans le néant, dévoreur du temps. Lentement elle retourna dans les temps oubliés... lentement.
Soudain, elle comprit et la vérité découverte dans ses plus profonds rouages paraissait comme une évidence. De retour chez elle, ses compères la rejetèrent de nouveau. - Toi qui n'a plus d'aiguille qui es-tu pour rester auprès de nous ? La montre impassible répondit : - Il fut un temps ou je notifiais le temps, on m'invoquait pour connaître le temps. J'étais passé, présent et futur. La minute que je représentais pouvait paraître une infime seconde comme une une heure infini. Aujourd'hui sans aiguille, je suis désormais un simple témoin du temps. Les autres montres surprisent ne savaient pas quoi répondre devant tant de sagesse. Depuis ce temps, la montre sans aiguille était devenue la Mère de toute chose du temps qui errait sans but. Elle était la montre sans aiguille, témoin du temps. |
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Sexe : Messages : 43 Date d'inscription : 24/02/2014
| | | Effectivement 30 lignes c'est plutôt court pour une histoire courte ou une fable ... On va monté le Max à 50 pour pas que ce soit non plus trop long à lire ______________________________________________________________________________________________ Bon comme les bugs de Forum actif on supprimé mon beau poèmes on va le détruire au lance roquette et après on lui fera bouffer les petits bouts qui reste rester zen Et refaire un truc du coup (pas un poème ce coup-ci) : 20 août 2015 Jean avais toujours écrit du plus loin qu'il se souvienne comme son père et son père avant lui, mais eux avaient eux du succès en leur temps. Lui n'avait jamais connu les prix Goncourt, les sessions de dédicaces ou ne serais-ce que les maisons d'édition. On lui avait toujours envoyé un refus cinglant pour toute ses œuvres jugées trop sombres et dérangeantes, il les avait donc publiées lui-même mais sans succès. Il avait donc fait un choix , celui de couper ces ailes qui n'avait su ne le porter nulle part juste après avoir terminer son dernier chef-d’œuvre et il venait de le finir à l'instant. Conformément à sa promesse il rangea alors une plume, puis après avoir charger son arme se tira une balle dans la tempe. Il n'avait qu'un regret, il espérait qu'au moins une personne ai entendu son message... Et que la solution de son histoire serait lu par certains ... 18 mai 2025 *La foule est en liesse pour la deuxième réélection de son Président, Frédéric, son premier acte pour ce nouveau mandat à été de déclarer le 18 mai 2e fête national du pays...* 22 janvier 2029 *Alors aujourd'hui nous recevons Arthur qui viens nous parler du chef-d’œuvre posthume de "Jean" un écrivain visionnaire qui avait gagner des millions à son époque avec ses œuvre dystopique et racontant la monté au pouvoir sur dix ans d'un dictateur élu trois fois avant d’instaurer un régime dictatorial et il racontait également comment il se renforçait sur quatre ans, son dernier livre, écrit juste avant sa mort est malheureusement perdu à tout jamais brûlé dans l’incendie de sa folie...*
Dernière édition par BrannKriger le Mar 11 Nov 2014, 20:50, édité 3 fois |
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Sexe : Messages : 1198 Date d'inscription : 13/01/2014
| | | Le poète Il avait toujours pensé que seul un immense chagrin lui insufflerait assez d'inspiration pour écrire le plus merveilleux de ses poèmes. Il l'avait appris ainsi : la peine fait écrire de belles choses. Il n'était pas malheureux, loin de là. Il ne connaissait pas encore ce qu'était l'amour, il allait souvent au parc et croisait des couples, mais il y restait indifférent, il n'enviait pas ces personnes. Ce matin-là, il sortait comme à son habitude, dans le but de trouver l'inspiration. Il se plaça devant son miroir, enfila son manteau, mit convenablement son chapeau, il attrapa ses clés et sans un bruit disparut de la grande maison. Il l'avait acquise par hasard. Il était partit un soir où il ne trouvait pas le sommeil, il faisait noir et au détour d'un chemin, il s'était trompé de route. Un lampadaire illuminait la petite rue étroite où une immense bâtisse laissée à l'abandon régnait. Dès le premier regard qu'il posa dessus, il savait que c'était là qu'il devait habiter. Il l'acheta avec les maigres économies qu'il possédait et y emménagea. Il y vivait depuis quelques années déjà et avait de nouveaux itinéraires pour se vider l'esprit. Il était donc parti des rêves plein la tête, en espérant une fois pour toute être reconnu par son travail. Ses pas le guidait vers le parc, où des enfants jouaient gaiement. Il croisa une jeune femme élégamment habillée qui se rendait vers la pharmacie où elle travaillait, il souleva son chapeau, et lui sourit. Ils se rencontraient souvent mais ne s'étaient jamais adressé la parole. Il la trouvait jolie mais était trop timide pour lui parler. Lorsqu'il était malade et avait besoin de médicaments, il faisait en sorte qu'elle ne soit pas là. Tout ce qu'il savait d'elle, c'était qu'elle travaillait à la pharmacie. Il poursuivit son chemin, elle aussi, dans deux directions opposées. Il s'avançait vers le lac, où au bord des roseaux il avait l'habitude de s’asseoir et d'attendre un peu en regardant le ciel. Il était encore tôt mais l'éther commençait déjà à s'assombrir, malgré la menace qui planait, le poète décida de rester, il aimait bien la pluie. Elle commençait maintenant à tomber alors qu'il s'assoupissait. Il se releva et choisit de rentrer chez lui. Il prit le chemin le plus court, c'est pourquoi il revint sur ses pas. Arrivé devant chez lui il observa une dernière fois le ciel en le suppliant. Il entra, défit ses affaires et les accrocha au porte-manteau, il monta se changer car ses vêtements étaient trempés. Il pénétra dans son bureau et s'assit à sa table de travail. Il prit son bloc-notes et son stylo préféré, il commença à griffonner quelques mots puis les ratura, durant des minutes il écrivait, raturait, arrachait, froissait et jetait des pages entières. La colère montait en lui, il se retourna et regarda par la fenêtre, le soleil commençait à réapparaître en chassant les nuages de pluie, un arc-en-ciel pointa le bout de son nez. Le sourire revint sur les lèvres du poète. Le visage de la jeune femme croisée plus tôt dans la journée revenait le hanter. Il avait oublié ce que ce sentiment lui procurait, il avait l'impression de ne pas l'avoir ressenti depuis des années. Chaque jour il avait hâte de faire sa promenade matinale, il pensait que c'était pour réfléchir mais tout au fond de lui il savait, que le seul but de ces sorties quotidiennes était de voir le sourire de cette si belle femme qui le rendait toute chose. Elle baissait toujours les yeux en le voyant mais une fois il les avait vus briller tels deux étoiles et ne pouvait cesser de vouloir les revoir... Il se rassit devant sa table et reprit ses affaires d'écriture. Il ne ratura plus rien, il mettait au point un plan pour l'aborder. Son esprit n'arrivait plus à l'oublier, il fallait qu'il lui parle. C'était peut-être elle son inspiration... Bon voilà j'espère que ce ne sera pas trop long >w< |
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Sexe : Messages : 343 Date d'inscription : 07/08/2014 Localisation : Dans mon emballage
| | | Aller on se bouge les gents plus que trois jours Et envoyer moi vos proposition de sujet par MP |
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Sexe : Messages : 1198 Date d'inscription : 13/01/2014
| | | Voila la mienne, avec des fautes malheureusement >.> Le papier Je l'ai écrit, je l'ai enfin fait, mon cœur s'allège un peu, mais le poids de mes péchés est toujours lourd dans mon cœur. Ce que j'ai écrit, c'est ce que j'ai vécu, mes péchés, mes malheurs, mes remords et mes peurs, il est toujours plus simple d'écrire que de dire. Le poids de cette vie passée pesait bien trop lourd dans mon cœur, pour pouvoir tout garder pour moi, il fallait que je le dise à ma feuille, elle au moins ne ferait pas de commentaire. Même si ce n'était que des mots pour le vent, le fait de me remémorer tout ces détails m'ont fait pleurer, alors imaginer dans quel état j’étais, imaginer si je venais à parler de tout ça, je mourrais sûrement tellement j'aurais pleuré, de mes hontes et désespoirs. C'est bien ça, il est toujours plus simple d'écrire que de dire les choses à un vrai quelqu'un. Mais ça a son désavantage, jamais le papier ne vous réconfortera, on peut tout aussi bien le froisser, le jeter et recommencer encore et encore, alors si ceci est une lettre d'amour, ne sera-t-elle jamais envoyée ? Alors qu'à l'oral quand vous êtes lancés, vous êtes lancés, encore faut-il se lancer, est-ce si simple ? On peut vous pousser à le faire, mais dans ce cas, il aura déjà fallu dire la dite chose à une personne. Et si au final vous ne faites que vous rétracter et changer de sujet ? Vous aurez en tout cas, de cette manière qu'est l'oral, une réaction directe de votre interlocuteur, alors que par écrit, vous ne pouvez qu'imaginer mille et un scénarios possibles, quelle réaction il pourrait avoir, ou encore ce qu'il pourrait vous répondre, et comment vous répondra-il, le fera-il par écrit ou alors il vous le dira. Au moins à l'oral vous pourrez peut-être avoir une réponse directe, mais si vous vous enfuyez avant, et regrettez de l'avoir dit, vous paraîtrez encore plus ridicule. Vraiment je préfère l'écrit, c'est prendre beaucoup moins de risque, je préfère rester poser sur mon lit, à côté de la fenêtre, essayer d'écrire cette vie passée, à pleurer seule et n'avoir comme réconfort que le sentiment de votre amour propre, encore faudrait-il s'aimer. Ce papier se remplit et remplit toute une vie, la mienne, un lourd passé mais j'espère qu'un future radieux se présentera à ma porte le lendemain, mais il en est toujours rien jusqu'à aujourd'hui, en tout cas. J'espère tout du moins qu'un jour sera plus radieux, mais je ne peux faire qu'espérer. En tout cas je l'ai écrit, cette vie, mon cœur un peu allégé mais à la fois toujours aussi lourd, quel dommage que le papier n'expie pas ce sentiment qui me tiraille jour après jour, peut-être finira-il pas me dévorer ? Vraiment ... jamais je ne pourrais dire ça à qui que ce soit. Finalement ma seule amie est une feuille, mais elle laisse un grand vide de douleur solitaire. Mais c'est donc à la fois mon meilleur ami mais aussi mon pire ennemie, celui de la solitude. |
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Sexe : Messages : 1735 Date d'inscription : 20/04/2014 Localisation : Là ... ou pas .__.
| | | La joute écrite n°1 est maintenant terliné je vous invite donc à voté (les participants peuvent votés hein ! ^^ ) [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] |
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Sexe : Messages : 1198 Date d'inscription : 13/01/2014
| | | Double poste pour annoncer la relance! Le nouveau thème est dans le premier message Et n'hésitez pas à m'envoyer vos idées de thème pour une prochaine joute par MP ______________________________________________________________________________________________ Voilà ma participation: Scilly rentrais chez elle, à la sortie du village, lorsque passant près du cimetière elle entraperçu une ombre à travers les grille du cimetière. Elle s'approcha de la grille et inspecta du regards les alentours de de ce lieu qu'elle appréciait par dessus tout depuis le décès de son grand-père. Elle connaissais le cimetière par cœur, elle y jouait souvent avec sont grand-père et les autres macabés, et elle adorait ça. Mais ce soire là quelque chose clochait dans le cimetière elle n'aurait su dire quoi. Intrigué elle entra dans le cimetière, mais après une fouille minutieuse ne voyant rien elle décida de rentrer chez elle comme elle l'avait initialement prévue. Une fois rentré chez elle la jeune fille mangea avec ses parents et se coucha juste après. Elle ne regardait quasiment jamais la télé après manger, elle n'aimait pas la lecture non plus, elle préférait dormir et rejoindre le pays de ses rêves, celui où il faisait si bon vivre. Puis le rêve vira soudain au cauchemar, elle entendit un cri strident, puis elle se retrouva dans la rue devant sa maison une odeur pestilentiel et une atmosphère lugubre planait sur le village, une odeur et une atmosphère ne régnant habituellement pas sur ce petit village isolé. Soudain elle vit l'aire devant elle se troubler et, dans une fumée sombre, apparaître un homme entrain de marcher. Il était de grande taille, avait de longs cheveux noires, des traits fin et portait un gilet et un pantalon en cuire tanné avec des franges sur le côté comme ce des sauvages de l'ouest, sous son gilet son torse était nu et cuivré tous comme ses bras et ses pieds. Seuls les deux bracelets qu'il portait aux avant bras semblait venir des peuplades civilisés. Ils étaient sertient d'une grosse pierre ovale chacun mais Scilly était absorbé par la pierre noire du bracelet droit et par les reflets dorés qui en sortaient. Soudain l'homme tourna la tête vers elle et dis d'une voie très guttural en la montrant du doigt: -Toi ! Scilly se réveilla alors, mais elle ne se trouvais plus dans sa chambre, elle se trouvait dans un espèce de cône fait en toile tendue. Elle essaya de se relever mais remarqua alors qu'elle était attacher a un poteaux de bois où semblait être gravés des symboles qu'elle n'arrivait pas à voire à cause de la pénombre. Soudain une personne entra dans le cône de toile et s’assit en face d'elle à même le sole dans une posture que Scilly n'avait jamais vu. Il devait s'agir d'un homme, ses épaules étaient trop larges pour êtres celles d'une femme et elle ne voyait pas de seins poindre sous la tunique de la personne devant elle. Elle n'arrivait pas à voire ses trait à cause de la pénombre. Elle regarda alors les bras de l'inconnu et reconnue tout de suite les bracelets de l'inconnue et la magnifique pierre noir de celui de droite. -Quel est ton nom ? demanda l'homme -Vilnitia monseigneur. -N'essaie pas de me mentir petite je ne t'ai pas épargner pour rien, ton nom ? -Vous ne m'avez pas épargner pour rien? Que voulez-vous dire par là? -Hier soir j'ai massacré ton village, ton nom? -Vous avez massacrer tout le village ? Mais alors mes parents … demanda Scilly sans cillé -Morts eux aussi, ton nom ? Scilly se rappela tout à coup les cris et l’odeur pestilentiel du village dans son rêve… Ce n'était donc pas un rêve. Elle se souvint alors de l'apparition de l'homme aux bracelets. Cela lui rappelais une vieille légende sur un âge révolue qu'on lui avait raconté une fois. -V-v-vous êtes un sorcier ? -Un shaman, ton nom ? -V-vous pratiquez la magie noire ? -La magie n'a pas de couleur, seul l'usage qu'on en fait à une couleur, mais je l'utilise effectivement en noire, ton nom ? -Qu-qu-quelle sorcellerie pratiquez vous ? -Je suis nécromant, j'anime les cadavres c'est comme ça que j'ai détruit ton village, j'y ai envoyé une armée de cadavres, ton nom ? -J-j-je n'ai pas peur de vous ! -Si tu as peur de moi, ton nom ? Scilly explosa-alors en sanglot : -Je m'appelle Scilly ! -Bien Scilly je vais faire de toi mon apprentie. |
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Sexe : Messages : 1198 Date d'inscription : 13/01/2014
| | | Bon à la vue de l'ÉNORME succès de cette joute n°2 on va la remettre en jeu avec un nouveau thème: Noël!
Donc vous avez 1 mois, sois jusqu'au 12 janvier 2015 à minuit pour poster votre texte,
Bonne chance et tout le monde et tous à vos claviers !!!! |
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Sexe : Messages : 1198 Date d'inscription : 13/01/2014
| | | Ce matin, je suis sortie et j'ai éprouvé la sensation d'un brusque changement. Les rues avaient changé. D'ordinaire, elles étaient assez peu fréquentées et l'ambiance qui régnait autour des boutiques était calme et apaisante. Désormais, c'était devenu l'horreur. Dehors, hommes, femmes et enfants surexcités étaient de sortie. Les magasins étaient généreusement décorés, les arbres portaient des guirlandes colorées, les vendeurs accueillaient les gens chaleureusement (ce qui se faisait de plus en plus rare...) Soudain, j'étais pétrifiée. Etait-ce la crainte de ne point me souvenir des paysages environnants ? L'inquiétude de me confondre parmi les personnes aux alentours ? Ou peut-être un peu des deux ? Un instant, je croyais m'effondrer. Je mis ma main sur mon front, afin de vérifier l'état dans lequel j'étais et j'eus un sursaut en constatant que ma main était terriblement froide. Je soupirais de soulagement, j'étais tellement heureuse que ce soit juste dû à un froid mordant ! J'avais aussi remarqué que de minuscules gouttelettes tombaient du ciel et qu'elles étaient étrangement blanches... Elles commençaient à recouvrir la totalité du sol. Je secouais la tête et me dis que je devais rêver. Je tendis ma main et patienta quelques instants jusqu'à ce qu'une gouttelette se posa sur ma peau. Alors je compris que je voulais juste échapper à cette réalité : ce n'étaient pas des gouttelettes habituelles, c'étaient bien des flocons de neige ! Tout de même, cela m'intrigua, nous n'étions qu'en octobre ! Je demeurais au milieu de la place où tout le monde circulaient puis, au bout d'un certain moment, je me résous à marcher et à essayer de comprendre tous ce qui m'entouraient. A la vue de mon bistrot favori, je décidai de m'y rendre pour savourer un délicieux chocolat chaud. Sur le seuil, une affiche m'avait troublé. Il était écrit en lettres imprimées : « Joyeuses fêtes ! » J'étais resté un moment à la contempler, si bien que je me perdis dans mes pensées... Jusqu'à ce qu'un vieux monsieur me pousse en s'exclamant sur un ton de reproche: « Avancez , je vous prie ! » Je restais sonnée, mais j'étais tout de même parvenue à articuler, tant bien que mal : «Quel jour sommes-nous, aujourd'hui ? » L'homme m'avait considéré avec stupeur et avait annoncé, méfiant : « Nous sommes le 24 décembre, mademoiselle » J'étais troublée mais j'avais finalement réussi à le remercier d'un sourire. De nouveau seule, je remettais de l'ordre sur les précieuses informations récoltées depuis ce début de journée. J'avais enfin compris pourquoi les rues étaient noires de monde, les décorations fusaient, les gens étaient de si bonne humeur... Noël, évidemment ! C'était l'esprit de Noël qui apportait cette joie et ce bonheur ! Pourtant, dans mes souvenirs, on était bien en octobre... Mes parents ! J'eus une pensée pour les nombreux membres de ma famille. Il fallait à tout prix que j'achète des cadeaux. Il ne me restait que très peu de temps. Je me suis alors mise en route pour mes futurs achats. Je ne me souvenais plus si c'était chez mes parents que j'allais passer le réveillon en famille. Il fallait les contacter au plus vite pour le savoir. Seulement, je ne comprenais toujours pas pourquoi deux mois avaient pu passer sans que je m'en aperçoive...
Voilà :) Bon, j'espère que je ne serais pas la seule à participer.. |
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Sexe : Messages : 1034 Date d'inscription : 26/10/2014
| | | Je clos donc la joute et nomme par la même occasion sans même vous consulter (et ouais je suis comme ça moi ^^) Nareshi gagnante de cette seconde joute bravo à toi et n'oublie pas de me mp pour le nouveau thème ^^ ______________________________________________________________________________________________
Donc je relance la Joute avec le nouceau thème choisi par Nareshi : "Le Monde"
La date limite pour cette joute est placée au 17 février 2015
Bonne chance à tous ^_^ |
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Sexe : Messages : 1198 Date d'inscription : 13/01/2014
| | | Champ de bataille, Terre de sang, On nous le vend, Comme un univers sans faille, Mais nous voulons tous en trouvé, Pour allez taquiner nos personnages, Nous créons donc ces failles pour nous évader, Nous créons donc au fil des pages, L’univers de nos fantasme, Avant que l'ont soit secouer de spasmes, En manque d'oxygène, En manque d'inspiration, À la manière d'une potion, Nous puisons sans gêne, Dans le puits sans fond, Avant de tomber dans un sommeil profond |
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Sexe : Messages : 1198 Date d'inscription : 13/01/2014
| | | Aux vu du fonctionnement de ces joutes j'annonce que celle ci était la dernière.
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Sexe : Messages : 1198 Date d'inscription : 13/01/2014
| | | C'est dommage, mais je comprends. Moi j'aimais bien même si pour celle-ci j'ai pas eu le temps d'écrire une histoire. Mais si ça n'intéresse que très peu de personnes c'est normal d'arrêter. |
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Sexe : Messages : 1034 Date d'inscription : 26/10/2014
| | | Sujet plus d'actualité, je verrouille et je déplace |
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Sexe : Messages : 3548 Date d'inscription : 13/06/2011 Localisation : Dans le TARDIS
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