A la demande de notre bien-aimé Skyzo je poste ici une fic, je vous préviens la qualité n'est pas forcément top et la logique se fait détruire par un rhinocéros en rut vu que je l'ai écrite il y a un certain temps du genre 2-3 je devais être en 4ème donc indulgence merci - Spoiler:
Je m’appelle Alexis, j'ai quatorze ans et je suis en troisième, et jusqu'à il y a peu j'étais un garçon comme les autres. Je n'avais pas de problème psychologique particulier à part que j'aimais me faire passer pour un con. Cette année il y avait un nouveau dans la classe. Un type sympa dont la seule tare était de fumer. Il s'appelait Aubin et vivait près du collège. Je ne le savais pas encore mais il allait devenir mon plus grand soutien. Il serait avec trois autres de mes amis Les Quatre Lieutenants. Des combattants puissants, intelligents et loyaux. Mais pour l'instant il était un ami rien de plus.
Un soir en rentrant, du handball avec Aubin des types louches nous suivirent. Une tête patibulaire, des gros bras tatoués,des racailles de pacotille qui se prenaient pour des dieux. Soudain l'un d'entre eux nous barra le chemin pendant que ses copains nous encerclaient. Le type qui nous barrait le chemin avait un bandana noir et un blouson en cuir noir lui aussi. Il s’adressa alors à nous : -Salut les jeunes, dites vous auriez pas quelque chose pour un gentil monsieur comme moi ? Soudain Aubin sortit un couteau à crans d'arrêt et dit alors : -À part des coups de couteaux nan, on a rien pour des crétins comme vous ! -Du calme jeune homme, nous sommes entre gens civilisés, rangez donc cette arme et venez discuter tranquillement autour d'une bouteille de vodka, hein ? Du tac au tac je répondis : -Nan on ne boit jamais rien... à part le sang des p'tits connards dans votre genre, dis-je avec un sourire ironique. Soudain l'un des gros bras attaqua. Aubin avait toujours son couteau à la main et lança son bras dans la direction de notre attaquant. Ce dernier essaya d'esquiver le coup, mais la lame lui infligea une profonde entaille au bras. Entre-temps j'avais ramassé un caillou traînant par terre et l'avais lancé sur leur chef. Après je ne m'en souviens plus bien. Je me souviens de coup. Je me souviens de cris. Je me souviens de pleurs. Je me souviens de sang. Jusqu'au moment où je me suis énervé contre ces types. Je me suis relevé malgré les coups et les blessures. Et je les ai tués un par un avec le couteau d'Aubin ramassé à terre. Prenant soin de les faire souffrir le plus possible. Pour tous les pauvres types qu'ils avaient martyrisés. Pour envoyer un message à toutes les ordures dans leur genre. Aujourd'hui je versais le sang. Aujourd'hui je devenais un tueur. Aujourd'hui je devenais criminel. Et bien malgré lui Aubin aussi. Je pensais alors à nos parents, à sa copine ,à nos amis : nous ne les reverrions sûrement jamais !
Nous rentrâmes chez nous faire nos bagages : sac, nourriture, couteaux en tout genre, briquet, boissons et argent. Voilà ce que nous avions décidé d'emmener et de garder. Pas de portable car la signalisation était traçable et pas non plus d'objet compromettant, tels des photos de sa famille, ses amis ou autres êtres chers. Puis nous partîmes fuyant un monde où nous allions devenir des parias, des criminels rejetés de tous.
Soudain je me réveillais en sursaut couteaux à la main, portant des vêtements usés, déchiquetés et rapiécés. Aubin vint vers moi et prit la parole. -Alors marmotte, bien dormi ? Je n'avais pourtant jamais été un lève-tard et même plutôt le genre de type à se coucher à minuit pour se lever à six heures du matin. Aubin remarqua que je ne parlais pas et dit : -Je vois toujours le même rêve hein ? -Oui. Régulièrement en ce moment je refaisais le même rêve. C'était juste les moments qui précédaient notre retrait du monde. Ensemble nous avions appris à chasser, se défendre et survivre dans ces forêts hostiles. -Allez prépare-toi on part chasser, me lança-t-il, j'ai relevé les traces d'un gros gibier. Un sanglier je crois, donc prépare les pics. -D'accord. Cela faisait trois ans que nous nous étions cachés, et nous avions changés énormément. Avant j'étais un garçon timide, rondouillard mais plutôt fort. Mais j'avais peur de laisser exploser cette force de peur de blesser quelqu'un. Pendant notre exil j'avais laissé exploser ma sauvagerie et toute la rancœur accumulée à cause de ne pas pouvoir répondre aux coups par éthique. J'étais passé du jeune garçon brillant dans ses études mais faible en sport à un tueur en puissance capable d'arrêter un bœuf à mains nues (j'avais déjà essayé). Plus un seul bourrelet saillait sur mon abdomen. Aubin lui était passé du type costaud, grand, joyeux et sympathique au tueur froid et implacable. J'étais devenu le leader de notre groupe car il était très efficace dans tous ce qui était exécution d'une tactique, traçage d'une cible ou encore excellait à la mise à mort de la proie sans douleur et rapidement, mais était nul pour inventer une tactique pour attaquer l'animal sans qu'il nous ait vus. Nous nous mirent en chasse quand nous entendîmes un cri de douleur. Nous nous regardèrent et sans même parler nous nous mirent à courir le plus vite possible pour secourir l'inconnue ayant poussé ce cri. En arrivant nous ralentîmes et observâmes la scène qui se jouait sous nos yeux. Deux jeunes femmes en costume d'ange. Plus je les regardais plus je les trouvais belles et attirantes, elles avaient quelque chose d'inaccessible et d'excitant. Puis je vis ce qui s'en prenait à elles. Un ours. Un ours gigantesque. Il mesurait à peu près deux fois la taille des jeunes femmes et paraissait bâti tout en muscles. Il hurlait, donnait de grands coups dans les arbres en arrachant la moitié à chaque coup. Puis soudain une rage aveugle m'envahit. Voir ces deux jeunes filles si belles à la merci de cette bête tueuse me mettait hors de moi. Puis soudain je perdis le contrôle de mon corps ! Je regardais ce corps qui était le mien se jeter sur l'ours. Puis une gerbe de sang. Du sang rouge, écarlate. Chaud. Mon sang ? Celui de l'ours ? Les deux entremêlés. Le combat avait duré moins de cinq minutes. L'ours était mort, je ne l'étais qu'à moitié, j'avais gagné.
J’ouvris les yeux. -Bonjour jeune farresdiosalquamegbet L'une des deux jeunes filles que j'avais sauvée était là, elle était magnifique, un peu plus grande que moi, le visage rond aux traits fins et les yeux marrons. Je la trouvais magnifique, j'étais subjugué par sa beauté. Aussi quand cette magnifique créature m'adressa la parole je ne trouvai rien de mieux que de rester béat la bouche ouverte. Quand elle me vit comme cela elle crut que j'avais eu un arrêt cardiaque, je fis alors une bourde qui faillit sceller mon destin. Elle approcha son visage du mien pour l'observer. Je fis alors un grand bon en arrière. Elle me regarda alors d'un air offensé. -Je suis si laide que ça que même un habitant de Farres, me repousse ? dit-elle avec une moue de dédain hautaine contredite par la tristesse que je ressentais dans dans sa voix. -N...nan ! Vous êtes très belle mademoiselle ! C'est juste que vous m'avez surpris ! Vous vous êtes rapprochée comme si... -Comme si j'allais t'embrasser ? Il ne faut pas rêver les Anges n'embrassent jamais pour rien mais seulement quand ils aiment réellement et profondément une personne et non pour le plaisir de la chair ! dit-elle avec dégoût. En fait à la base j'allais juste te remercier de nous avoir sauvées ma cousine et moi. Tu devrais sortir ton ami t'attend dehors avec ma cousine. En sortant je fus ébloui par la clarté du soleil. Puis l'instant d'après la lueur du soleil s'éclipsa un instant. Le temps que je vois ce deuxième soleil. La magnifique jeune fille me faisant face était un peu plus petite que moi les cheveux châtains et les yeux d'un bleu océan profond. Elle m'attirait comme un aimant. La regarder dans les yeux était comme regarder le soleil en face pendant une éclipse : une folie attirante à l'extrême. -Tu es remis sur pieds ? Chouette alors ! dit la beauté divine à laquelle je faisais face. Alors moi c'est Léticia et ma renfrognée de cousine là-bas c'est Émilie elle est très triste en ce moment car ses parents ont été tués dans une attaque de Démon. Il faut dire qu'ils sont... -C'EST BON LÉTICIA ! Pas besoin d'étaler ma vie au premier venu ! Comme si lui un homme de la terre pouvait la comprendre. Elle lâcha cette dernière phrase avec un mépris à peine voilé. C'en était si vexant que je fus contraint de riposter malgré mon immense trouble. -Je ne suis peut-être qu'un homme de la terre mais je vous ai sauvée la vie. Alors "l'homme de la terre" à peut-être le droit à un peu de respect vous ne croyez pas ? lui crachai-je à la figure comme si chaque mot était une lame acérée prête à blesser le premier qu'elle croiserait. Après cet échange de propos aussi empoisonné de mauvaises intentions que peuvent l'être des mots des échanges de regards froids et assassins suivirent. Soudain Léticia, puisque c'était son nom s'évanouit et un halo blanc l'enserra et la souleva au-dessus du sol ! Puis soudain elle parla d'une voix rauque et puissante tranchant avec sa voix douce de tout à l'heure. -L'Archidémon deviendra Archidieux et sauvera la Planète des siens et de tous les hommes. Il deviendra alors un Holmes. Tout à coup elle retomba lourdement dans les bras d'Aubin. Je regardais à ce moment-là Émilie. Je vis dans ses yeux une terreur inconditionnelle.
-Un Archidémon devenant un Archidieux rien que ça ! Autant dire que pour une fois ses prédictions sont forcément fausses ! -Des Archiquoi ? Et puis tu as parlé de prédictions ? -Oui, elle en a de temps en temps. Habituellement, elles se réalisent toujours. -Et pourquoi là elle ne se réaliserait pas ? -Un Archidémon est l'antagonisme d'un Archidieux, c'est comme si on te disait que dans la minute tu allais devenir une femme ! Impossible ! -Effectivement, ça en a tout l'air, mais impossible n'est pas humain. Aubin on y va, nous allons chasser, utilisez le sifflet qui est dans l'abri si vous êtes en danger. En nous attendant vous pouvez allumer le feu, voici le briquet.
Relu par Nareshi |
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Sexe : Messages : 1198 Date d'inscription : 13/01/2014
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Elle est pas si mal que sa cette histoire, c´est juste la fin, dernier dialogue j´ai pas compris, les filles c´est des anges mais elle vont attendre là que les mecs remmène la bouf ? Tu devrais faire une suite sa pourrais être intéressant suivent comment sa tourne |
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Sexe : Messages : 1735 Date d'inscription : 20/04/2014 Localisation : Là ... ou pas .__.
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Je me fait Juge !!!
le prénom s'écrit laëtitia Alors, l'histoire est incomplète ce qui rend difficile le fait de parler d'incohérences. Enfin bon là où le début est un peu étrange c'est que le narrateur ce décrit d'abord comme quelqu'un "sans problèmes psychologiques" Puis quelque dizaines de lignes plus tard il tue ses agresseurs sans le moindre remords ! Moi perso je me suis déjà retrouver dans une bagarre mais a aucun moment ni moi ni personne n'a ressentit l'envie de tuer ses adversaires !
Pareil tu dis qu'il est normal et sans Intérêt au début et quelque ligne plus tard il tue un OURS !!
enfin après pour le reste tu m'a un peu expliquer donc je dis rien mais il est vrai que certain point ne sont pas assez expliqués. |
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Sexe : Messages : 131 Date d'inscription : 23/08/2012 Localisation : 94510
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